CAMPAGNE DE FRANCE 1814 (2 a)
1er - 14 février 1814
Vous pouvez cliquer sur les panoramas pour les agrandir !
Attention, si vous voulez les voir à leur véritable grandeur (95 cm!), n'oubliez
pas d'adapter dans
Outils--> Options Internet-->Avancées --> Multimédia--> Décocher "Autoriser le
redimensionnement des images"-->OK
Campagne de France (1) :
novembre 1813- janvier 1814
Campagne
de France (2 a) : 1er- 14 février 1814
Campagne de France (2 b) : 15-28 février 1814
Campagne de France (3 a) : 1er - 15 mars
1814
Campagne de France (3 b) : 16-31 mars 1814
Campagne de
France (4) : avril 1814
Ce qui précède : Campagne de
France (1) : novembre 1813- janvier 1814
Carte (cliquable) globale pour la campagne de France de 1814
Si vous cliquez sur le nom de la ville sur la carte, vous irez directement à cet endroit.
1er février 1814 : Bataille de LA ROTHIÈRE
Napoléon n'a que 32.000 hommes (et 128 canons) à opposer aux 106
000 hommes et 286 canons des alliés.
st au centre, au village de La Rothière. L'engagement commence à une heure de
l'après-midi et ne cesse qu'à minuit. Napoléon ordonne la retraite vers le
nord-est, sur Troyes pour éviter d'être écrasé par les alliés le lendemain. Les
Français perdent à La Rothière 4.200 tués et blessés et 73 canons (!). En
plus, ils perdent 1 000 prisonniers. La bataille de La Rothière, première
défaite personnelle de Napoléon en France, affecte le moral de l'armée
française, et déclenche des désertions, 4.000 dans les jours qui suivent. Les
alliés ont environ 7.000 pertes.
TRANNES
Stèle 10 :
1er février 1814, l’Armée de Silésie mène l’attaque vers La Rothière depuis Trannes.
D18, devant l’ Eglise, à côté du
Monument aux morts (en coordonnées : N48.30124°- E4.58616° ou
48°18'4.46" N 4° 35' 10.17")
LA ROTHIÈRE
Panorama à l'entrée nord de la Rothière. On a peine à imaginer plus de 100.000
hommes sur cette plaine aujourd'hui si calme...
(Cliquez pour agrandir.)
|
BATAILLE
|
Le monument commémoratif de la bataille. Il associe les combattants de 1870-71 et de 1914-1918 à ceux de 1814. À son inauguration, en 1923, il était entouré de 4 canons, hélas enlevés par l'occupant en 1942, comme tant de statues.
Étape n°9 du
circuit :
Bataille de La Rothière :
1er
février 1814
Rue Haute, square devant le monument (en coordonnées GPS :
N48.34580°- E4.55690°
|
|
|
|
Pour le 190ème anniversaire de la bataille, le 1er février 2004, l'Association Passepoil apposa une plaque commémorative à la mémoire du général Marguet dans l'ancien lavoir de La Rothière.
Morvilliers
À Morvilliers à l'est de Brienne, on trouve
un des rares monuments de la bataille de La Rothière. Cette croix, dite
"de Sainte-Élisabeth" ou, plus clairement, "des Cosaques" marque l'emplacement
d'une tombe commune de la bataille. Elle fut érigée en 1854, mais aucune
inscription ne rappelle les combats.
Vue du nord vers le sud. Les Bavarois venaient donc de
la gauche de l'image, les Français étaient plus ou moins sur une ligne suivant
la route à droite.
Morvilliers fut âprement disputé entre les troupes de Marmont et les anciens
alliés qu'étaient les Bavarois de von Wrede.
1er février 1814, les combats de Morvilliers
Croix des Cosaques, vers Beauvoir, en bordure de
la D2 (en coordonnées : N48.37199°- E4.62057° ou
48°22'18.76"N 4°37'14.14"E)
Détail de la carte.
Vue panoramique sur Morvilliers, du sud vers le nord. La croix est à l'entrée du village, vers le milieu de la photo.
Vue vers l'ouest, vers le carrefour de la
ferme de Beauvoir.
Vue vers la Giberie, axe de l'attaque des troupes de Würtemberg.
Charge des cavaliers wurtembourgeois à La Rothière, le 1er février 1814, par
Knötel.
L'église de Chaumesnil. Contrairement à bon nombre de ses semblables, elle ne
porte pas de traces de la bataille, ce qui est sans doute dû aux restaurations
récentes...
Étape n°8 :
1er février 1814, Chaumesnil.
D11, près de la fontaine à côté de l’église (en coordonnées : N48.35948°-
E4.59643° ou 48°21'34.17"N
4°35'47.13"E)
Dienville
|
Stèle 11 : Dienville
1er février 1814, la défense de Dienville
D11, rue Paul Girard, au chevet de l’église, parvis de la Mairie (en coordonnées : N48.34891°- E4.53204° ou 48°20'55.93"N 4°31'55.28"E)
- À l'angle de l'avenue Paul Girard (D11) et de la rue du Moulin, calvaire en pierre érigé en 1824 sur une tombe commune de la bataille.
Téléchargez ici la carte du circuit Napoléon 1814, mentionnant les 25 stèles de la campagne de 1814 dans l'Aube : http://musee-napoleon-brienne.fr/sites/default/files/circuit_napoleon_1814.pdf
Vues du champ de bataille de La Rothière du 1er février 1814.
1. Sud de Morvilliers
2. Est de la Ferme de Beauvoir
3. Est de la Giberie
4. Sud de La Rothière vers le Nord
5. Sud de La Rothière vers le Sud
6. Dienville
Le bouclier symbolisant la bataille de La Rothière dans la Befreiungshalle de
Kelheim. Assez bizarrement, le bataille est appelée "bataille de Brienne" !
Stèle 12 : Brienne-la-Vieille
1er février 1814, le pont de
Brienne-la-Vieille
Défaites à La Rothière, les troupes françaises se
replient vers Brienne-le-Château.
Près du pont,établi sur l’Aube, sur la rive ouest. Accès par la D 11b,
sortie ouest de Brienne-la-Vieille, vers Radonvilliers (en coordonnées : N48.37314°- E4.52165°
ou
48°22'23.37"N 4°31'18.23"E)
La rive ouest de l'Aube, vers le nord
... et vers le nord.
Peu de temps après la pose de la stèle, un imbécile avait déjà essayé d'arracher la pierre portant le N.
1er février 1814 : chute de Bruxelles
2 février 1814 : Combat de
Rosnay-l'Hôpital
Rosnay-l'Hôpital
Je laisse la parole au Commandant Lachouque :
"Le plateau sur lequel ont pris pied les Bavarois n'a
point changé d'aspect. De là, vous comprendrez ce qui s'est passé sous la neige
le 2 février 1814 au soir, et vous saluerez la poignée de braves du 1er régiment
d'Artillerie de Marine, des 70e et 182e* de Ligne, des 4e et 7e de Cuirassiers
et surtout le major Prost et ses fusiliers du 121e** qui ont ici supporté le
poids des négligences et des fautes avec tant de froide bravoure et de farouche
héroïsme, et permis ensuite, derrière un maréchal de France ayant retrouvé son
ardeur, le repli vers Dampierre des 4.800 fantassins du 6e Corps, sans que les
25.000 Bavarois chargés de les poursuivre, leur chef, les souverains alliés
anxieux, accourus au bruit du canon, se fussent aperçus de leur départ !
Ayant laissé devant Rosnay les cadavres de 53 officiers et 1.045 hommes, de
Wrède est en effet retourné à Brienne... livrant le passage à Blücher dont la
cavalerie franchit pendant la nuit le pont de Rosnay, en route vers Vitry. "
* Il doit s'agir du 132e de Ligne, il n'y eut jamais de 182e de Ligne sous
l'Empire !
** Il s'agit en fait du 131e de Ligne.
La photo est prise du côté bavarois du pont au sud-est de Rosnay, les Français étant retranchés sur l'autre rive. L'église du village, dont parle Lachouque est derrière le bosquet, à gauche de la maison blanche.
|
|
Et voici la vue du côté français, vers le sud
:
Les plaques commémoratives se trouvent sur le mur de gauche :
|
|
Etape 13
2 février 1814, les combats de Rosnay
Terre-plein entre les ponts du village, établi sur la Voire. Accès par la D24
vers Perthes-lès-Brienne (en coordonnées : N48.45691°- E4.50553° ou
48°27'25.09"N 4°30'19.66"E)
Si la plaque au 131e de Ligne se trouve sur les lieux des combats de ce régiment, le 132e de Ligne combattit en fait sur l'autre pont, au sud-ouest du village, près de la ferme de la Garenne. La plaque devrait d'ailleurs être déplacée, mais en mai 2009, cela n'avait toujours pas été fait.
Vue du sud (côté bavarois) vers le nord (positions françaises) au pont où
s'illustra le 132e de Ligne. La ferme de la Garenne est à la gauche de la photo.
A l'arrière-plan, on peut voir les hauteurs où l'artillerie française avait pris
position,
prenant en enfilade le pont. Le village de Rosnay se trouve dans le lointain,
sur la droite de la photo. (Etape
14 du magnifique circuit "Napoléon en 1814" installé par le Parc
naturel régional de la Forêt d'Orient)
Stèle 14 :
Lassicourt
2 février 1814, le site stratégique du pont de la Garenne
Terre-plein à côté du pont, sur la rive sud de la Voire, entre Lassicourt et Rosnay-l’Hôpital, sur la D396
(en coordonnées : N48.44845°- E4.49273° ou
48°26'54.41"N 4°29'33.16"E)
Vue vers le nord, de la rive nord. La ferme de la Garenne est cachée au
centre-gauche, à peu près derrière le bouleau, à un peu plus de 500.
(Cliquez pour agrandir.)
Autre vue vers le nord, de la rive sud
Stèle 15 :
Lesmont
2 février 1814, le pont de Lesmont
Le dépliant mentionne : D960, chemin qui longe l’Aube au fond du jardin de la Mairie, sous la halle. (en coordonnées : N48.42716°- E4.41200°
ou
48° 26' 11.36")
Nous avons photographié la stèle au bord de l'Aube, près de l'emplacement du pont historique en 1814, en coordonnées 48°25'35.90"N 4°24'41.55"E. Le premier emplacement était peut-être celui prévu à l'origine, ou bien la stèle a été déplacée après notre passage en 2009.
L'emplacement du pont de bois qui existait en 1814.
Stèle 16 : Piney
2 février 1814, coup de main de Piney.
Devant la halle, à côté de la fontaine
(en coordonnées : N48.36343°- E4.33271° ou
48°21'48.12"N 4°19'57.46"E)
Les magnifiques halles de Piney.
Les halles, la fontaine et la stèle N°16. A l'arrière-plan, la maison habitée par l'Empereur dans la nuit du 2 au 3 février 1814.
|
2 Février 1814, Thennelières
(suivre le lien)
3 février 1814 : Début du Congrès de Châtillon
Le 3 février, un nouveau congrès s'ouvre à Châtillon (Côte-d'Or) entre les quatre grandes puissances alliées et la France. Les Alliés sont représentés par le comte Stadion, pour l'Autriche, le baron Humboldt, pour la Prusse, le comte Rasumowsky, pour la Russie et par les lords Aberdeen et Callicart et le général Charles Stewart pour le Royaume-Uni. Le ministre Castlereagh est également présent. Le général Caulaincourt, duc de Vicence, ministre des Relations étrangères, représente la France et a obtenu de Napoléon carte blanche pour signer un traité de paix. Les Alliés déclarent n'accepter que les frontières de la France d'avant 1792 comme seule base des négociations, et refusent qu'elle prenne part à la future réorganisation de l'Europe, mettant ainsi fin au rôle de Napoléon en Europe. Quand Napoléon apprend ces conditions, le maréchal Berthier et Maret, duc de Bassano, qui se trouvent auprès de l'Empereur, lui conseillent de les accepter, mais il refuse.
DANS CET
HÔTEL S’EST TENU
|
Les négociations sont interrompues le 8 février. Il y a des rencontres le 17,
puis le 28 février. Le 10 mars est fixé comme date butoir. Le congrès prendra fin le
19 mars.
3 février 1814 : pont de la Guillotière
Stèle 20 : Clérey
3, 4 et 5 février 1814, les affrontements de
Clérey
Intersection N 71 et D1, près de l’ancienne gare
(en coordonnées 48°11'41.48"N 4°10'45.81"E
ou 48°11'41.48"N 4°10'45.81"E)
Panorama du champ de bataille de Clérey.
Cliquez pour agrandir.
Carte du combat de Clérey.
7-9 février 1814 : Napoléon est à Nogent-sur-Seine
|
Dans cette maison |
Cette maison a été magnifiquement restaurée et est devenue la "Maison à
remonter le temps". Visitez son site Internet
http://la-maison-a-remonter-le-temps.fr/
Toutes les photos de Nogent-sur-Seine sont © La
Maison à remonter le temps.
L'Empereur y logera également du
20 au 22 février 1814.
8 février 1814 : Chalon-sur-Saône
|
10 février 1814 : Bataille de CHAMPAUBERT
BAYE
Vue au sud de Baye, du sud (à droite) au nord (à gauche), axe de l'attaque de la
division Ricard.
Cliquez sur l'image pour agrandir.
LE 10
FÉVRIER 1814 |
|
Vue panoramique du château de Baye. La tour est à droite.
Cliquez sur l'image pour agrandir.
Ferme de la Hannoterie, au nord de Baye, lieu de combats entre les Russes fuyant
Baye vers Champaubert, et la division Ricard les poursuivant..
BANNAY
Entrée sud du village de Bannay (vers le nord). Tandis que la
division Ricard attaquait les Russes à Baye, la division Lagrange (brigades
Joubert et Pelleport) prenait Bannay.
«
|
Champ de bataille de Champaubert.
Sortie ouest de Champaubert, vue d'ouest en est en passant
par le nord.
Les Gardes d'Honneur saluant l'Empereur à Champaubert.
Sortie nord de Champaubert, d'ouest en est, en passant par le nord.
CHAMPAUBERT
Cliquez pour agrandir la photo ci-dessus.
|
de Bordesoulle, de Nansouty. |
Généraux : Ricard, Lagrange, Pelleport, Doumerc, de Girardin, Piquet. |
bataille de Champaubert commandée par l'Empereur Napoléon |
10 |
À la |
MONTMIRAIL |
Monument |
|
11 février 1814 : Bataille de MONTMIRAIL
MONTMIRAIL
|
Une dernière photo de l'allée devant le château, en 2008.
La même, en 2010. Les arbres bicentenaires qui avaient vu passer l'Empereur ont
hélas été abattus, parce que malades.
Cette magnifique image de Google Earth donne une bonne idée du champ de
bataille. Les numéros que j'ai placés indiquent l'endroit d'où les photos sont
prises. La ville de Montmirail est dans le coin inférieur droit.
1
1814
11 FEVRIER
----------
MONTMIRAIL
MARCHAIS
1814 12 FEVRIER -------- les caquerets nesle château-thierry |
1866 15 AOÛT
CE MONUMENT A été élevé par les ordres de L'EMPEREUR NAPOLéon III --- C'est de cette place que L'EMPEREUR NAPOLEON Ier commanda son armée le 11 février 1814 |
1814 10 FEVRIER CHAMPAUBERT ------- 14 FEVRIER VAUCHAMPS |
2 Une vue vers l'ouest,
à partir du point de vue de l'Empereur, ce 11 février. A gauche de la route, on
distingue le hameau du Tremblay, plus loin, Marchais-en-Brie.
A droite de la route, derrière le bosquet, mais plus loin, la ferme des Grénaux.
Cliquez sur l'image pour zoomer.
3 Vue à partir du Tremblay (parfois écrit Le
Tremblet) en direction de Marchais. L'axe des attaques répétées
de la Division Ricard est indiqué par la flêche.
|
AUX GLORIEUX
|
Le hameau du Tremblay, qui, comme on peut le constater ici, commence à être défiguré par les nouvelles constriuctions.
Division Ricard (selon
1814, la Campagne de France, de Hourtoulle) effectifs au début de la
campagne :
- Brigade Boudin - 6e Léger (197 h.) - 9e Léger (130 h.) - 16e Léger (199 h.) - 138e de Ligne (le 3e Bon, 108 h.) - 142e de Ligne ( 95 h.) - 145e de Ligne (261 h.) |
- Brigade Fournier - 2e Léger (112 h.) - 4e Léger (136 h.) - 22e de Ligne (281 h.) - 40e de Ligne (223 h.) - 50e de Ligne (190 h.) - 69e de Ligne (le 3e Bon, 97 h.) - 136e de Ligne (582 h.) - 144e de Ligne (306 h.) |
-
Brigade Clavel - 2e Régiment d'Artillerie de Marine (29 Offr et 205 h.) - 4e Régiment d'Artillerie de Marine (19 Offr et 153 h.) - 132e de Ligne (380 h.) - 142e de Ligne ( 95 h.)
|
Elle subit d'énormes pertes durant la bataille, 50 % de ses effectif, soit 800 sur 1600. Huit cents hommes pour cette seule division, alors que les pertes de toute l'armée françaises s'élevèrent, pour cette bataille, à 2000.
5' L'entrée est de Marchais en Brie. C'est ce combat qui a été immortalisé par Horace Vernet.
BATAILLE DE MARCHAIS
CETTE FERME JADIS NOMMÉE |
La ferme vue du nord. La plaque est entourée d'un cercle. Les témoins de l'époque disent que l'on retira, après la bataille, 400 corps de ce lieu.
L'église de Marchais fut également le théâtre de durs combats. Le clocher fut criblé d'obus durant la bataille. C'est peut-être pourquoi il n'y en a plus ! Des soldats russes s'y étaient réfugiés.
5 Vue panoramique à plus de 180° du nord vers le sud, à partir de la sortie sud
de Marchais (l'entrée sud du village est visible à gauche sur la photo), avec vue sur le ravin de Coulgis.
De nombreux morts des combats
furent, paraît-il, enterrés en ces lieux. Aucun monument ne marque leur tombe.
Cliquez sur l'image pour
agrandir.
La même vue, un peu plus au sud.
|
|
|
8 Vue sur la ferme des Grénaux, à partir du nord. Les attaques françaises venaient
de la gauche de la photo. A gauche, route menant plein nord à Chateau-Thierry.
A droite, chemin des Grénaux à la ferme de Plénois. Cliquez sur l'image pour
agrandir.
9
Un autre panorama, cette fois à partir de la ferme des Grénaux. L'ouest et le
sud sont indiqués. La route de Montmirail à Vieils-Maisons va de gauche à droite
de l'image.
Cliquez sur l'image pour
agrandir.
10 L'entrée de la ferme de Plénois. C'était
ici l’aile droite de l'armée française pendant la bataille de Montmirail. Il
fallait à tout prix préserver l'armée d'une arrivée offensive de York.
11 Panorama de la route de la ferme de Plénois
vers la ferme des Grénaux : une des parties les plus disputées du champ de bataille.
Cliquez sur l'image pour
agrandir.
Visite du champ de bataille
Montmirail - Le Tremblay - Marchais - ravin de Coulgis - ferme des Grenaux -
ferme de Plénois - ferme de Courmont.
COURMONT
|
AUX DRAGONS APN 2005 |
L'ÉPINE-AUX-BOIS
Le village, vu du sud.
LA HAUTE-ÉPINE
Ferme de la Haute-Epine, Quartier-Général Impérial au soir du 11 février
1814.
Bataille de ACMN |
La ferme de la Meulière.
|
La Haute-Epine, hameau de la Meulière, stèle des APN (2008) aux cavaliers de la Division Defrance. |
AUX |
Extrémité occidentale du champ de bataille, au nord de la D933, entre la
Haute-Epine, à gauche, et le hameau de La Meulière, à droite.
|
|
|
11 février 1814 : Bataille de Sens
Bas-relief représentant la bataille de Sens du 11 février 1814 sur le socle de
la colonne au roi Guillaume de Wurtemberg, sur la grand-place de Stuttgart. Il
commandait les troupes wurtembergeoises en 1814, alors qu'il était Prince
héritier.
(Cliquez pour agrandir.)
12 février 1814 : Bataille de
CHÂTEAU-THIERRY
La Couture (lieu-dit sur la route de Château-Thierry à Montfaucon), pont sur le Dolloir
Le pont sur le Dolloir vu du sud vers le nord, en direction de l'attaque des troupes de Mortier.
Bataille de Château-Thierry ------------------ Lors des combats du 12 février 1814 ce pont et ce ru appelé le Dolloir défendus par des Tirailleurs des puissances coalisées furent les premières positions ennemies enlevées par l'infanterie française du maréchal MORTIER Duc de Trévise |
viffort
Vue sur Viffort, d'ouest vers l'est.
|
BATAILLE DE CHÂTEAU-THIERRY |
Le capitaine Carabène, avec 50 gardes du 3ème Régiment, traverse Viffort au grand galop et s'empare un peu plus loin de plusieurs pièces d'artillerie fortement défendues.
MONTFAUCON
L'Empereur passa à Montfaucon le 12 février 1814, et il y eut des combats ce
jour-là. Pourtant, le monument commémore un fait d'armes du
4 mars 1814.
ESSISES (à 10 km au sud de Château-Thierry)
|
|
Vous trouverez également sur le site Internet d'Essises de belles photos aériennes qui vous permettront de situer l'endroit et les combats, ainsi qu'un résumé des batailles : La bataille de Montmirail
Ne manquez pas de visiter le musée de la bataille ! Vous trouverez un avant-goût ici : Musée d'Essises.
Et pour visiter le champ de bataille : Randonnées
Les CAQUERETS (hameau dominant le village d'Essises, au nord de celui-ci)
Le monument se trouve sur la place Napoléon. Au moins une
supériorité de ce hameau sur Paris...
BATAILLE DE LE 12 FÉVRIER 1814
|
Ce petit hameau se trouvait au centre du dispositif de von Katzler, couvrant la retraite alliée vers Château-Thierry. Profitant d'une faille dans le dispositif allié, les grenadiers de la Vielle Garde franchissent le Dolloir, escaladent les hauteurs et en chassent les Prussiens. Le hameau fut le théâtre de furieux corps-à-corps. Un diorama au musée d'Essises montre cette phase de la bataille.
|
Le plateau de Nesle. A droite, la ferme du Lumeron.
Cliquez sur l'image pour
agrandir.
Nogentel (La Boudinotte)
BATAILLE DE CHÂTEAU-THIERRY |
Nesles-la-montagne (au SE de Château-Thierry)
|
Au soir de la bataille de Château-Thierry, le Quartier-Général Impérial s'établit au château de Nesles. L'Empereur lui-même préféra la ferme du Lumeron.
|
CHÂTEAU-THIERRY (lieu-dit les Garats)
12 |
14 février 1814 : Bataille de VAUCHAMPS
VAUCHAMPS
|
FERME DE SARRECHAMPS (NO de Janvilliers)
Comme on peut encore le voir, cette ferme était un véritable fortin comparable
-toutes proportions gardées- au grenier d'Essling.
Le bataillon de la 10ème brigade prussienne qui la défendait, oublié -
volontairement ou non-pendant la retraite alliée, résista pendant deux
heures avant de se rendre.
AUX HÉROÏQUES |
JAnvilliers
PENDANT LA BATAILLE
14 |
Cartes (sauf mention contraire) :Johnston, Alex. Keith, Atlas to Alison's History of Europe, William Blackwood and Sons, Edinburgh and London, 1848.
SUITE : Campagne de France (2 b) : 15-28 février 1814
Campagne de France (1) : novembre 1813- janvier 1814
Campagne de France (2 a) : 1er- 14 février 1814
Campagne de France (2 b) : 15-28 février 1814
Campagne de France (3 a) : 1er - 15 mars 1814
Campagne de France (3 b) : 16-31 mars 1814
Campagne de France (4) : avril 1814