Interventions/actions de l'ACMN pour sauvegarde/restauration 2024

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Dernière mise à jour : 19/02/2025

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Total pour 2024 : l'ACMN a fait des interventions/actions pour 98 monuments dans 71 lieux !
(non comprises les restaurations).

 

Le

 

Attention : classement par département (au sein de chaque département, classement alphabétique par nom de ville)
01 Ain - 02 Aisne - 03 Allier - 06 Alpes-Maritimes - 07 Ardèche - 08 Ardennes - 09 Ariège - 10 Aube - 12 Aveyron - 13 Bouches du Rhône - 14 Calvados - 16 Charente - 17 Charente-Maritime - 18 Cher - 19 Corrèze - 20 Corse - 21 Côte d'Or - 22 Côtes d'Armor - 23 Creuse - 24 Dordogne - 25 Doubs - 26 Drôme - 27 Eure - 28 Eure-et-Loir - 30 Gard - 31 Haute-Garonne - 32 Gers - 33 Gironde - 34 Hérault - 35 Ille-et-Vilaine - 36 Indre - 37 Indre-et-Loire - 38 Isère - 39 Jura - 40 Landes - 41 Loire et Cher - 42 Loire - 43 Haute-Loire - 44 Loire-Atlantique - 45 Loiret - 46 Lot - 47 Lot-et-Garonne - 48 Lozère - 49 Maine-et-Loire - 50 Manche - 51 Marne - 52 Haute-Marne - 53 Mayenne - 54 Meurthe-et Moselle - 55 Meuse - 56 Morbihan - 57 Moselle - 59 Nord - 60 Oise - 61 Orne - 62 Pas-de-Calais - 63 Puy-de-Dôme - 64 Pyrénées- atlantiques - 65 Hautes-Pyrénées - 67 Bas-Rhin - 68 Haut-Rhin - 69 Rhône - 71 Saône-et-Loire - 72 Sarthe - 73 Savoie - 75 Paris - 76 Seine-Maritime - 77 Seine-et-Marne - 78 Yvelines - 79 Deux-Sèvres -  80 Somme - 81 Tarn - 82 Tarn et Garonne - 83 Var - 84 Vaucluse - 85 Vendée - 86 Vienne - 87 Haute-Vienne - 88 Vosges - 89 Yonne - 90 Territoire de Belfort - 91 Essonne - 92 Hauts-de-Seine - 93 Seine-Saint-Denis - 94 Val-de-Marne - 95 Val d'Oise - Allemagne - Belgique - Grande-Bretagne - Angleterre - Ecosse - Italie - Suisse - Tchéquie

Nous remercions M. Alain Chappet (+) pour son aimable collaboration.
Interventions de l'ACMN par son Président, le délégué du Président ou le délégué régional, ou d'autres membres.

Nous faisons aussi l'inventaire des interventions/restaurations napoléoniennes réalisées par d'autres associations, comme le Souvenir Français, ou par des municipalités.

 

01 AIN

 

02 AISNE

Lierval (02860)

Intervention de l’A.C.M.N. auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :

- la sépulture de Jean Louis François Tellier (1778 – 1851), officier d'artillerie de Napoléon. : « ICI / REPOSENT / JEAN FRANÇOIS LOUIS TELLIER, PROPRIÉTAIRE / EX PREMIER LIEUTENANT / AU SEPTIÈME RÉGIMENT / D’ARTILLERIE À PIED / DÉCÉDÉ LE 24 JUIN 1851 / ÂGׅׅÉ DE 78 ANS / [...]» (Stèle massive le long d’un mur).

(Demande de David Pelletier, Délégué auprès du Président)

Le 6 février 2024, la Mairie de Lierval informe le Président : « En réponse à votre lettre du 29 janvier 2024, nous vous informons que la sépulture de Jean Louis François Tellier est en bon état, telle que sur la photo que vous avez jointe ».

Merci M./Mme le Maire !

 

Soissons (02209)

Intervention de l’A.C.M.N. auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :

- la sépulture de Charlemagne Pintat, voltigeur au 42e de ligne.

- la sépulture de François Valentin  Adjudant-général, chef de bataillon (1794), général de brigade (1800). Baron de l’Empire (1809) : « Tombe d’un brave / ci-gÎt Valentin François / marÉchal de camp, commandeur de la lÉgion / d’honneur de Naples, chevalier de la couronne / de fer et de plusieurs ordres / mort le 13 novembre 1822 ÂgÉ de 59 ans. Campagnes / VendÉe, Italie, Égypte, Naples, SiÈge de GaÈte, Wagram, Wilna / Allemagne, / Espagne, premiÈre et derniÈre / de Russie » (Coffre. À gauche en entrant)

- le cénotaphe des frères Pierre Nicolas Humel et Maximilien Laurent Humel : : « À / la / mÉmoire / des / dÉfenseurs / de la patrie / Maxime Humel / et Pierre Humel. / mortS dans / les plaines / de Dresde / et de / LeipziCK / en 1813 » (Au fond du cimetière, sur la droite, obélisque endommagé entouré d’une grille).

- la sépulture de Jean-Baptiste Berliat. Engagé au 6^e d’infanterie (1792), devenu la 12^e demi-brigade, puis le 81^e de ligne (1803). Capitaine (1813). Il sert aux armées de la Moselle, blessé d’une balle au pied gauche à Arlon (9 juin 1793), de l’Ouest, à l’expédition d’Irlande sur la frégate La Loire (13 août 1798), prisonnier de guerre (18 oct. 1798), rendu (16 janv. 1799), Italie et Tyrol (1802-1805), Dalmatie (1806-1808), à nouveau Italie et Tyrol (1809), Espagne (1811-1812) et Italie (1813-1814) : « Jean-Baptiste BERLIAT / Capitaine en retraite / officier de la Légion d’Honneur / … » (Canton B3, 4^e rangée, 13^e sépulture, tombe n°90 en état d’abandon).

(Demande d’Éric Bertrand, Délégué Régional)

Réponse de la Mairie : « En réponse à vos courriers relatifs à la préservation des Monuments Napoléoniens, j’ai l’honneur de vous informer que la Ville de Soissons a décidé de poursuivre son engagement afin de sauvegarder les concessions suivantes :

- Jean Baptiste Berliat, capitaine en retraite, Officier de la Légion d’honneur, situé canton B3 / rang 4 / tombe 13.

- Pierre Humel et Maxime Humel située canton G / rang 4 / tombe 19.

- François Valentin, Maréchal de Camp, Commandeur de la Légion d’honneur, située canton L / tombe 62.

- Charlemagne Pintat située canton M / tombe 75.

Aucun de ces lieux de sépultures ne fera l’objet d’une procédure de reprise de concession ».

Merci M./Mme le Maire !

 

03 ALLIER

Bellenaves (03330)
Intervention de l’ACMN auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de Léonard Desfrétière, médaillé de Sainte-Hélène : « ICI / REPOSENT / LÉONARD DESFRÉTIÈRE / 1792 – 1864 / […] » (Stèle au sommet ogival).
(Demande de David Pelletier, Délégué auprès du Président)

 

06 Alpes-Maritimes

 

07 Ardèche

 

 

08 Ardennes

Asfeld (08190) (Demande 2023 – mise à jour 2024)

Intervention de l’ACMN auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de Jean-Pierre-Hubert Guistel. Entré fusilier au 85^e de ligne (1804), caporal (1805), sergent, puis sergent-major au 127^e de ligne (1811), sous-lieutenant (1812). Il sert dans la Grande Armée, blessé à Pultusk (1806), Autriche (1809) et Russie, blessé et fait prisonnier à Smolensk : « JEAN PIERRE HUBERT / GUISTEL / ANCIEN OFFICIER DE L’EMPIRE / DÉCÉDÉ LE 18 DÉCEMBRE 1848 / DANS SA 68^ME ANNÉE. » (Stèle au sommet arrondi).

- la sépulture de Étienne-André Maquart. Volontaire au 3^e bataillon des Ardennes (1791), passé à la 24^e demi-brigade légère (an V) : « ÉTIENNE ANDRÉ / MAQUART / ANCIEN OFFICIER / DES ARMÉES / CHEVALIER / DE LA LÉGION D’HONNEUR / DÉCÉDÉ LE 10 MAI / 1847 / DANS SA 77^ME ANNÉE » (Dalle familiale).
(Demande d’Éric Bertrand, Délégué Régional)

Le 20 juillet 2023, la Mairie d’Asfeld informe le Président :
« Nous avons bien pris en compte vos demandes concernant la conservation et la restauration des deux sépultures situées dans notre cimetière à Asfeld. Je vous informe que la restauration de celles-ci sera entreprise par notre équipe technique fin juillet / début août 2023. Nous ne manquerons pas de vous transmettre par mail des photos de leur travail ».
Merci M./Mme le Maire !
Le 3 juin 2024, la Mairie d’Asfeld informe le Président de la sauvegarde et de la restauration des deux sépultures.

 

 

09 Ariège

 

10 AUBE

 

11 AUDE

Espéraza (11260)
Intervention de l’A.C.M.N. auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
– la sépulture du général Antoine Salva: « À LA MÉMOIRE / DU GÉNÉRAL D’EMPIRE / ANTOINE SALVA / 1744 – 1806 / SES DESCENDANTS »
(Haute stèle surmontée d’une urne, entourée d’un enclos métallique).
(Demande de David Pelletier, Délégué auprès du Président)

Le 27 juin 2024, la Mairie d’Espéraza informe le Président :
« Suite à votre courrier en date du 8 juin 2024, concernant une sépulture au nom de Antoine Salva au cimetière d’Espéraza. Nous avons bien retrouvé celle-ci, et nous allons rechercher d’éventuels ayant droits. Pour information cette sépulture porte le numéro G26 (nouvelle numérotation après inventaire du cimetière) ».
Merci M./Mme le Maire !

Rieux-Minervois (11160)
Intervention de l’A.C.M.N. auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de Joseph Gils : « JOSEPH GILS / OFFICIER DES ARMÉES / DE LA RÉPUBLIQUE / MAIRE DE RIEUX-MINERVOIS / 1771 – 1848 » (Dalle familiale).
(Demande d’Éric Casadevall, Délégué Régional)

 

 

12 AVEYRON

 

13 BOUCHES du RHÔNE

 

14 CALVADOS

Honfleur (14600)
Intervention de l’A.C.M.N. auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de Charles-Armand Voisard, charpentier de marine. Médaillé de Sainte-Hélène : « CHARLES ARMAND VOISARD / NÉ LE 11 NOVEMBRE 1793 / MORT LE 17 NOVEMBRE 1872 / … » (Dalle familiale). (Demande d’Éric Casadevall, Délégué Régional)

Réponse de la Mairie : «Vous nous avez fait part de votre souci, en tant que président de l’Association pour la Conservation des Monuments Napoléoniens, de voir remise en état la tombe de Charles Armand Voisard. J’ai demandé à notre agent des cimetières de voir la question. Il m’a indiqué que la tombe doit être nettoyée et les lettres refaites. Je souhaiterais savoir si votre Association intervient pour la remise en état, et si oui dans quelles conditions. En ce qui nous concerne, j’ai demandé un devis pour la remise en état de la tombe et la gravure des lettres. Pour toute précision, je vous invite à prendre contact avec mon secrétariat ».
Merci M./Mme le Maire !

 

16 CHARENTE

Angoulême (16000)
Intervention de l’A.C.M.N. auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de François Teste. Chef de bataillon (1798), général de brigade (1806), général de division (1813). Il sert aux armées du Danube, Helvétie, Italie, Autriche, Russie, Saxe, capturé à Kulm. Rentré en France (juin 1814), il combat en Belgique. Baron de l’Empire (1810). Mémoria-liste : «TESTE FRANÇOIS ANTOINE / NÉ À BAGNOLS-SUR-CÈZE (GARD) / LE 19 NOVEMBRE 1775 / MORT, DOYEN DES GÉNÉRAUX DE DIVISION DE FRANCE / LE 8 DÉCEMBRE 1862 / MARENGO, CALDIERO, WAGRAM, MOSKOWA, NAMUR.» (Coffre, entrée principale, allée du Souvenir français, à gauche).
(Demande du Président de l’ACMN).

Réponse de la Mairie : « C’est avec grand intérêt que j’ai pris connaissance de votre courrier en date du 2 septembre 2024 faisant référence à un monument napoléonien sis au cimetière de Bar-dines. En réponse à votre demande et conscient de l’intérêt que représente l’ensemble des Monu-ments Napoléoniens, j’ai le plaisir de vous confirmer que cette tombe remarquable sera inscrite sur la liste des monuments à conserver et qu’elle ne fera pas l’objet d’une procédure de reprise. Espé-rant ainsi répondre à votre demande, le service des affaires funéraires reste à votre disposition pour tout renseignements complémentaires ».
Merci M./Mme le Maire !
 

 

17 CHARENTE-MARITIME

Surgères (17700)
Intervention de l’A.C.M.N. auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
– la sépulture de Gaspard Dumas.  Entré au 6e Lanciers : « GASPARD DUMAS, ÉPOUX DE / CLÉMENTINE PROUX, DÉCÉDÉ LE / 23 MARS 1879 À L’ÂGE DE / 86 ANS / IL A FAIT LES CAMPAGNES DE / POLOGNE ET DE WATERLOO » (Grande stèle cubique familiale à l’entrée principale du cimetière). (Demande de David Pelletier, Délégué auprès du Président)
Le 13 juin 2024, la Mairie de Surgères informe le Président que la sépulture de Gaspard Dumas est sauvegardée et entretenue par la Mairie.
 

Le 8 août 2024, la Mairie de Surgères informe le Président :
« Suite à notre entretien téléphonique de ce jour, je confirme que la Mairie de Surgères a procédé à la sauvegarde de la tombe de Gaspard Dumas dans le cimetière Saint-Gilles de notre Commune. Je précise également que nous avons informé Monsieur David Pelletier de cette découverte dans notre cimetière. Dans ce cimetière, nous avons également la sépulture de Louis Glénaux, ancien Officier de l’Empire, Chevalier de la Légion d’honneur. Dans le cimetière Saint Pierre, nous avons la sépulture du soldat napoléonien Pierre Bonneau. Ces trois sépultures sont sauvegardées par la Mairie de Surgères. »
Merci M./Mme le Maire !

18 Cher
 

19 Corrèze

20 Corse

 

21 Côte d'Or

Dijon (21000)
Intervention de l’A.C.M.N. auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
Polygone E
- la sépulture de Claude Prieur-Duvernois, dit Prieur de la Côte-d’Or : « CLAUDE-ANTOINE / PRIEUR / DE LA CÔTE-D'OR / NÉ À AUXONNE LE 22 DÉCEMBRE 1763 / MORT À DIJON LE 22 AOÛT 1832 / OFFICIER DU GÉNIE / DÉPUTÉ À L’ASSEMBLÉE LÉGISLATIVE 1791 / DÉPUTÉ À LA CONVENTION NATIONALE 1792 / MEMBRE DU COMITÉ DE SALUT PUBLIC / PRÉSIDENT DE LA CONVENTION NATIONALE 1794 / RAPPORTEUR DES LOIS / SUR L’UNIFORMITÉ DES MESURES / ET SUR LA CRÉATION DE L’ÉCOLE POLYTECHNIQUE / MEMBRE DU CONSEIL DES CINQ-CENTS / EXILÉ EN 1816 / RENTRÉ À DIJON EN 1830 » (Monument avec au centre son médaillon de profil. Sépulture n°180).

Polygone 7’
- la sépulture de Étienne Heudelet, général : « ICI REPOSE / LE COMTE HEUDELET / GÉNÉRAL DE DIVISION / ANCIEN PAIR DE FRANCE, GRAND CORDON DE L’ORDRE IMPÉRIAL / DE LA LÉGION / D’HONNEUR / CHEVALIER DE S^T LOUIS / NÉ À DIJON 12 9^BRE 1772 / DÉCÉDÉ À PARIS 20 AVRIL 1857 » Face opposée « LIEUTENANT AU BATAILLON DE / LA CÔTE D'OR / LE 3 AOÛT 1792 / GÉNÉRAL DE DIVISION À AUSTERLITZ / LE 24 DÉCEMBRE 1805 » Autres faces noms des batailles : « MARIENZELL / AUSTERLITZ IENA / GOLYMIN EYLAU » Puis : « VALENCIA BUSACO / SANTAREM ALFAYOTTES / DANTZIG. » (Monument imposant de forme carrée Coffre surélevé, orné de la cocarde du Souvenir français).
- la sépulture de Jean-Baptiste-Philibert Vaillant. Élève à l’École polytechnique (1807), puis à l’École du génie de Metz (1808), aide de camp du général Haxo. Il sert à Dantzig (1811), Saxe, fait prisonnier à Kulm (30 août 1813) et Belgique, présent à Ligny, Waterloo et à la défense de Paris. Maréchal de France en 1851.
- la sépulture de François Bony. Volontaire au 10^e bataillon de la Côte-d’Or (1793), capitaine (1796), colonel du 19e provisoire d’infanterie général de brigade (1813) : « FRANÇOIS BONY / GÉNÉRAL DE BRIGADE / NÉ LE 20 DÉCEMBRE 1772 / DÉCÉDÉ LE 30 MARS 1848. » Sur autre face : « AU GÉNÉRAL BONY / LOYAL ET BRAVE SOLDAT / BON ÉPOUX / BON CITOYEN / SA VEUVE INCONSOLABLE. » Sur la pyramide, mentions des batailles : « MONTENOTTE / LONATO / MILLESIMO / LODI / RIVOLI / ARCOLE / MARENGO / IENA / EYLAU / FRIEDLAND / BAUTZEN / LEIPSICK / FLEURUS. » (Obélisque avec cocarde du Souvenir français surmonté d'une croix en fer, entouré de 4 plots reliés par des barres).
- la sépulture de Nicolas Jacquemard. Général : « ICI REPOSENT / LE BRAVE GÉNÉRAL / JACQUEMARD / MORT LE 17 AVRIL 1836 / … » (Dalle et stèle au sommet pointu entourées de quatre plots en fer reliés par une chaîne, avec cocarde du Souvenir français).
(Demande de Guy Decoulonvillers)

Le 9 juillet, la Mairie de Dijon informe le Président que les sépultures sont sauvegardées et entretenues par le Souvenir Français.
Merci M./Mme le Maire !

22 Côtes d'armor

 

23 CREUSE

 

24 Dordogne

 

25 DOUBS

 

26 DRÔME

 

27 EURE

Ecardenville-sur-Eure (27490) (Demande 2023 – mise à jour 2024)
Intervention de l’A.C.M.N. auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de Vincent Thomas Coqueterre, capitaine à la 2^e Compagnie du 1^er escadron du Train d’Artillerie. (Demande de Gérard Lepoint)

Le 1^er février 2024, la Mairie d’Ecardenville-sur-Eure informe le Président que la sépulture de Vincent Thomas Coqueterre, capitaine à la 2^e compagnie du 1^er escadron du Train d’Artillerie, se trouve dans la Commune d’Écardenville-la-Campagne.
Merci M./Mme le Maire !

 

28 Eure-et-Loir

Frazé (28160)
Intervention de l’A.C.M.N. auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture Louis-Henri-Jacob Le Caux de la Tombelle. Entré au 1^er Gardes d’honneur (1813). Il sert en Allemagne et en France. Médaillé de Sainte-Hélène : « LOUIS HENRI JACOB / LE CAUX / COMTE DE LA TOMBELLE / CHEVALIER DE LA LÉGION D’HONNEUR / CAPITAINE DE CAVALERIE / MAIRE DE FRAZÉ / DÉCÉDÉ AU CHÂTEAU DE L’ORME / LE 27 AVRIL 1872 / DANS SA 77^ÈME ANNÉE » (Stèle dans un ensemble de monuments funéraires familiaux entouré d’un enclos métallique, gravée de trois médailles à son sommet, sous les armoiries).
(Demande de David Pelletier, Délégué auprès du Président)

Le 26 août 2024, la Mairie de Frazé informe le Président que la sépulture de  Louis-Henri-Jacob Le Caux de la Tombelle est sauvegardée et entretenue.
Merci M./Mme le Maire !

 

30 Gard

 

31 Haute-Garonne

 

 

32 GERS

 

33 Gironde

Blaye (33394)
Intervention de l’A.C.M.N. auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de Joseph-Patrice Favereau. Élève à l’école militaire de Fontainebleau (1805), sous-lieutenant au 53^e de ligne (1806), lieutenant (1809), passé au 13^e de ligne (1811), capitaine (1812), aide de camp du général Bertrand (fin 1813), chef de bataillon (1814), colonel (21 juin 1815). Il est le fils du général Jean-Dominique Favereau : « JOSEPH PATRICE / FAVEREAU / GÉNÉRAL DE BRIGADE / NÉ À BLAYE / LE 30 OCTOBRE 1787 / DÉCÉDÉ À BORDEAUX / LE 19 JUILLET 1867 »
(Demande de David Pelletier, Délégué auprès du Président)

Réponse de la Mairie : « Je fais suite à votre courrier reçu dans nos services en date du 4 juillet dernier concernant la sauvegarde de la concession de Joseph Patrice Favereau, située champ A, n° 55, sise au cimetière communal. Je vous informe que la sépulture référencée n’est pas rentrée dans une mesure de reprise des concessions perpétuelles. Par ailleurs, je vous invite à vous rapprocher du service cimetière avant toutes démarches de restauration du monument. Je me tiens à votre disposition pour de plus amples renseignements ».
Merci M./Mme le Maire !

Bordeaux (33000) (Demande 2023 – mise à jour 2024)
Intervention de l’A.C.M.N. auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
20^e Série
- la sépulture de François Bonié. Élève à l’École Polytechnique (1808), officier dans l’artillerie. Il sert dans la Grande Armée (1813) et en Belgique, présent à Waterloo : « ICI REPOSE / LE COLONEL D’ARTILLERIE BONIÉ / COMMANDEUR DE LA LÉGION D’HONNEUR / NÉ À BORDEAUX LE 20 DÉCEMBRE 1789 / ET DÉCÉDÉ LE 21 JANVIER 1874 » (Haute stèle rectangulaire surmontée d’une croix, située sur l’allée des frères Bonie à la jonction avec l’allée des feuillants).
(Demande de David Pelletier, Délégué auprès du Président)

Réponse de la Mairie : «Le Bureau de la Conservation des Cimetières a bien réceptionné votre courrier qui a tenu toute notre attention. M. Edouard Bonié a fait don par testament en date du 9 janvier 1865 de la concession référencée série 19 n° 84 située au cimetière de la Chartreuse à la Ville de Bordeaux. Legs accepté le 25 mai 1895. La Ville de Bordeaux procède à un entretien annuel de la sépulture ».
Merci M./Mme le Maire !

Macau (33460)
Intervention de l’A.C.M.N. auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de Louis Pierlot, régent de la Banque de France (1806), intendant de la Maison de l’impératrice Joséphine (1810) : « ICI REPOSE / LOUIS PIERLOT / ANCIEN RECEVEUR GÉNÉRAL DES FINANCES / ANCIEN RÉGENT DE LA BANQUE DE RANCE / DÉCÉDÉ À L’ÎLE CAZEAU / LE 29 JUIN 1826 /ÂGÉ DE 59 ANS » (Stèle surmontée d’un chapiteau).
(Demande de David Pelletier, Délégué auprès du Président)

Le 14 juin 2024, la Mairie de Macau informe le Président :
« Je vous confirme que la sépulture de Louis Pierlot restera dans le patrimoine de la Commune et nous en prendrons soin ».
Merci M./Mme le Maire !

34 HÉrault

Montpellier (34070)
Intervention de l’A.C.M.N. auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de Jacques-David-Martin de Campredon. Chef de bataillon (1795), général (1799), il commande le génie de l’armée de Naples (1806) et dirige le siège de Gaète (idem). Ministre de la Guerre du royaume de Naples (1809), il sert en Russie, puis au blocus de Dantzig où il est fait prisonnier (1813). Face : « J. D. MARTIN BARON DE CAMPREDON / PAIR DE FRANCE, GRAND OFFICIER DE LA LÉGION D’HONNEUR / GRAND CROIX DE L’ORDRE ROYAL DES DEUX-SICILES / NÉ LE 13 JANVIER 1761 À MONTPELLIER / DÉCÉDÉ LE 11 AVRIL 1837 À MONTPELLIER » Derrière « PROFESSEUR À L’ÉCOLE POLYTECHNIQUE / GOUVERNEUR DE NAPLES, DE COURTLANDE (sic) / INSPECTEUR DES ÉCOLES MILITAIRES ETC… / CAMPAGNES D’ITALIE DE 1796 À 1806 (sic) / PRUSSE 1807 – 1813 » Auteur d’un ouvrage sur le siège de Dantzig. (Mausolée, secteur H).
(Demande de David Pelletier, Délégué auprès du Président)

Le 4 mars 2024, la Mairie de Montpellier informe le Président :
« Nous avons bien réceptionné votre courrier au sujet de la sépulture du général  Jacques-David-Martin de Campredon. Toutefois, nous ne pouvons pas répondre à votre requête. Il a été inhumé au cimetière protestant qui n’est pas géré par la ville de Montpellier ».
Merci M./Mme le Maire !

35 ILLE-ET-VILAINE
 

 

36 Indre
 

 

37 INDRE-et-LOIRE

 

 

 

38 Isère
 

Voreppe (38340)
Intervention de l’A.C.M.N. auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture (?) de Jean-François Debelle,  général d’artillerie, mort de la fièvre jaune à Saint-Domingue.
– la sépulture de César-Alexandre Debelle,  général de brigade (1805), baron de la Gachetière (1808), il sert dans la cavalerie en Italie et en Espagne.
– la sépulture de Joseph-Guillaume Debelle, capitaine d’artillerie.
– la sépulture de Jean-Baptiste-Auguste Debelle,  major aux chasseurs à cheval de la Garde impériale : « À la mÉmoire / des quatre frÈres Debelle / nÉs À Voreppe / Debelle Jean-François-Joseph / gÉnÉral en chef d’artillerie / de l’expÉdition de S^t Domingue / nÉ en 1767 / mort À S^t Domingue en 1802. / Debelle CÉsaIrE Alexandre / gÉnÉral de division nÉ en 1770. / mort À Voreppe en 1826. / il repose ici / Debelle Joseph-Guillaume / capitaine d’artillerie / nÉ en 1779. / mort À Voreppe en 1816 / Debelle Jean-Baptiste Auguste / gÉnÉral de brigade. nÉ en 1781. / mort À Paris en 1831. »
(Demande de Guy Decoulonvillers)

Voir nos articles dans le Bulletin de l’ACMN, N°s 17,34- et 18, 1-2 et 3-4.

Le 19 juillet, la Mairie de Voreppe informe le Président que les sépultures sont sauvegardées et entretenues.
Merci M./Mme le Maire !

 

39 JURA

Clairvaux-les-Lacs (39130)
Intervention de l’A.C.M.N. auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de Albert-François Deriot. Brigadier à la 30e division de gendarmerie (1792), lieutenant au 1er bataillon de chasseurs de Saône-et-Loire (an III), chef de brigade des guides en Égypte, il reçoit dix-sept blessures à Héliopolis. Employé à l’armée d’Italie (1805), puis en Dalmatie (1806), il sert sous Lepic en Espagne (1808). Général de brigade (1811), chambellan de l’Empereur (1813). Baron de l’Empire (1810) : « ICI REPOSE / ALBERT-FRANÇOIS DERIOT / BARON DE L’EMPIRE / LIEUTENANT-GÉNÉRAL, COMMANDEUR DE L’ORDRE DE LA LÉGION D’HONNEUR / CHEVALIER DE L’ORDRE IMPÉRIAL DE LA COURONNE DE FER / NÉ À CLAIRVAUX LE 17 JANVIER 1766 / MORT LE 30 JANVIER 1836 » Sur l’autre face : « 1789 – SOLDAT / 1810 – GÉNÉRAL. » (Coffre sur plusieurs socles. Derrière la chapelle). (Demande de Guy Decoulonvillers)

Le 2 juillet 2024, la Mairie de Clairvaux les Lacs informe le Président que la sépulture est sauvegardée et entretenue.
Merci M./Mme le Maire !

 

Lons-le-Saunier (39000)
Intervention de l’A.C.M.N. auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture du général Desvernois. Volontaire au corps des Hussards de la Liberté (1792), sous-lieutenant (1796), capitaine (1798). Il sert aux armées du Rhin, Italie, présent à Lodi, Égypte, Naples et Calabre (1805-1808). Colonel du 1^er  chasseurs napolitains (1806), maréchal de camp au service de Naples (1813). Baron de l’Empire (1811). Mémorialiste: « ICI REPOSE / LE GÉNÉRAL BARON / NICOLAS-PHILIBERT DESVERNOIS / 1771 – 1859 » (Ensemble de deux tombes entouré d’une grille, allée 5, tombe n°4). (Demande de Guy Decoulonvillers)

Le 9 juillet, la Mairie de Lons le Saunier informe le Président que la sépulture est sauvegardée et entretenue par la Mairie.
Merci M./Mme le Maire !

40 LANDES

 

 

41 Loire et Cher

 

42 LOIRE

Pélussin (42410)
Intervention de l’A.C.M.N. auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de Jean-Antoine Roche, Médaillé de Sainte-Hélène : « CI GIT / ANTOINE ROCHE, DÉCÉDÉ / LE 23 MARS 1860, ÂGÉ DE 72 ANS / ROCHE FUT INCORPORÉ EN 1807 DANS LA 3^ME LÉGION ET CONDUIT SUR / LES PONTONS À CADIX. DE LÀ, IL FUT JETÉ / SUR L’AFFREUX ROCHER DE CABRERA. LÀ, PENDANT 5 ANNÉES, IL ENDURA TOUTES LES PRIVATIONS / QUE L’ÊTRE HUMAIN PUISSE SUPPORTER. / ROCHE A SUPPORTÉ LA MISÈRE AVEC / LA PLUS GRANDE RÉSIGNATION : AYANT / POUR SOUTIEN ET POUR GUIDE L’ÊTRE / SUPRÊME QUI N’ABANDONNE / JAMAIS SES ENFANTS. / ROCHE A ÉTÉ UN BON SOLDAT / BON PÈRE, BON ÉPOUX / IL EST REGRETTÉ / DE SA FAMILLE ». (Demande d’Éric Casadevall, Délégué Régional)

Réponse de la Mairie : « Nous faisons bonne réception de votre courrier du 29 février 2024, qui a retenu toute notre attention. M. Casadevall nous avait également contacté au sujet de cette concession dans notre cimetière, suite à l’apposition d’un affichage recherchant d’éventuel descendant ou ayant-droit. Nous avions alors fait savoir à M. Casadevall que nous ne souhaitons pas reprendre la concession, mais étions dans une démarche de mise à jour de nos dossiers. Toutefois, la seule exigence, que nous avons, est que la concession reste propre et en bon état. Nous vous proposons d’inscrire votre association comme concessionnaire de cette concession (perpétuelle donc aucun frais de renouvellement à prévoir). Ainsi, cette concession demeurera tant que vous assurerez son entretien et serez contacté avant toute action sur cette concession ».
Merci M./Mme le Maire !

43 HAUTE-LOIRE

44 LOIRE-ATLANTIQUE

 

45 LOIRET

Cepoy (45120)
Intervention de l’A.C.M.N. auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture d’Étienne Bardin.  Aide de camp du général Junot (1800), il sert en Hollande (1806) et assiste à la prise de Flessingue par les Anglais (1809). Colonel du régiment des pupilles de la Garde impériale (1812). Rédacteur du celèbre règlement Bardin de 1812 sur l’habillement: « À LA MÉMOIRE DU GÉNÉRAL / ÉTIENNE ALEXANDRE / BARON BARDIN / 1774 – 1840 » (PC sur le mur et sépulture entourée d’une grille , au bout de l’allée à gauche de la croix centrale). (Demande de Nadège Bourdin)

Réponse de la Mairie : « Par courrier en date du 22 juillet dernier, vous m’alertez sur l’état de la sépulture d’Etienne Barbin, située dans l’ancien cimetière de la commune de Cépoy. C’est avec plaisir que je vous informe aujourd’hui que les services de la Ville sont intervenus pour réhabiliter cette concession ».

Merci M./Mme le Maire !

 

46 Lot

Lanzac (46200)
Intervention de l’A.C.M.N. auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de François Bertrand Dufour, général de la Grande Armée.
(Demande de Guy Decoulonvillers)

Le 12 janvier 2024, la Mairie de Lanzac informe le Président : « Suite à la demande de Monsieur Decoulonvillers sur la sépulture de François Bertrand Dufour, général de la Grande Armée sur la Commune de Lanzac. La sépulture est sauvegardée dans le cimetière de la Commune ».
Merci M./Mme le Maire !

47 LOT et GARONNE

Saint-Eutrope-de-Born (47210) (Demande 2023 – mise à jour 2024)
Intervention de l’A.C.M.N. auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture André-Silvain Delbourg, médaillé de Sainte-Hélène : « ICI REPOSE / ANDRÉ SILVAIN DELBOURG / CAPITAINE D’ARTILLERIE / CHEVALIER / DE LA LÉGION D’HONNEUR / DÉCÉDÉ / LE 8 SEPTEMBRE 1868 / À L’ÂGE DE 77 ANS » (Coffre entouré d’une grille métallique).
(Demande de David Pelletier, Délégué auprès du Président)

Le 24 janvier 2024, la Mairie de Saint Eutrope de Born informe le Président : « En réponse à vos courriers et comme nous vous l’avions précisé lors de notre appel téléphonique du mois de novembre, le Conseil municipal tient à sauvegarder le monument où André Silvain Delbourg est inhumé dans notre cimetière communal de Piis. Les élus ont pour projet d’enlever la grille afin de faciliter l’accessibilité aux autres tombes et de l’utiliser comme ossuaire. Ce tombeau est en bon état, il est juste nécessaire de le nettoyer. Je me tiens à votre disposition pour toutes questions complémentaires ».
Merci M./Mme le Maire !

 

 

48 LOZÈRE

Vebron (48400)
Intervention de l’A.C.M.N. auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de François Lozeran de Fressac. Il est né le 5 août 1753 et décède le 6 juillet 1824 à Vebron (Lozère). En janvier 1790, il devient maire de Vebron ; du 6 septembre 1791 au 20 septembre 1792, il est député de la Lozère ; du 1^er juillet 1815 au 23 juillet 1815, il est Préfet de la Lozère (provisoirement, pendant 23 jours) ; 10 février 1818 à août 1817, préfet de la Lozère.
(Demande de Guy Decoulonvillers)

Le 20 février 2024, la Mairie de Vebron informe le Président : « Suite à votre appel téléphonique du lundi 19 février, je vous prie de trouver en pièces jointes les documents que nous avons en mairie, relatif à François Lozeran de Fressac. Contrairement à ce que je vous ai dit au téléphone, je ne sais pas où se trouve la tombe de François Lozeran de Fressac, que j'ai confondu avec celle du capitaine Pontier, lui aussi ancien maire de Vebron ».

 

49 Maine-et-Loire

 

50 Manche

 

51 MARNE

Chapelaine (51290)
Intervention de l’A.C.M.N. auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de Aimé Jean-François de Chassepot. Préfet de l’Ariège (1810-1814), condisciple de Bonaparte à Brienne : « FAMILLE CHASSEPOT ». (Chapelle)
(Demande d’Éric Bertrand, Délégué Régional)

Le 5 avril 2024, la Mairie de Chapelaine informe le Président : « Suite à votre courrier du 15 février 2024, nous vous informons que la Commune de Chapelaine n’a pas procédé à la sauvegarde de la sépulture d’Aimé Jean François de Chassepot ».

 

Hermonville (51220) (Demande 2023 – mise à jour 2024)
Intervention de l’A.C.M.N. auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de Jean-Louis Châtelot. « … / J. L. CHATELOT / MÉDAILLÉ DE S^TE HÉLÈNE / DÉCÉDÉ LE 12 JUIN 1870 / DANS SA 76^E ANNÉE. » (Stèle surmontée d’une croix métallique, 2^e allée gauche vers le haut avant le mur de séparation ancien/nouveau cimetière).
(Demande de Gilberte Touret).

Réponse de la Mairie : « Suite à vos courriers des 17 avril et 10 juillet 2023, je vous informe que la sépulture de Jean-Louis Châtelot est entretenue par la Commune et n’appelle aucune observation tout comme les tombes napoléoniennes référencées dans la Commune ».

Le 9 avril 2024, la Mairie d’Hermonville informe le Président :
« Monsieur le président, j'ai l'honneur de vous informer de la décision récente de la municipalité d'Hermonville, quant à la tombe du major Jean-Louis Châtelot, qui avait combattu dans la Grande Armée, et était titulaire de la médaille de Sainte-Hélène : cette tombe a désormais le qualificatif de tombe municipale, et comme telle, elle sera entretenue par la commune. Je suis ravie de cette décision, et je vous en informe aussitôt. Je vous remercie de vos interventions, et vous adresse mes respectueuses salutations ».
Merci M./Mme le Maire !

 

Pocancy (51130) (Demande 2023 – mise à jour 2024)
Intervention de l’A.C.M.N. auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture François-Joseph Renom: « ICI REPOSE / JOSEPH RENOM / MÉDAILLÉ DE S^TE HÉLÈNE / ÉPOUX DE ROSALIE CASOTTE / DÉCÉDÉ LE 16 JANVIER 1866 / DANS SA 80^E ANNÉE / IL FUT BON ÉPOUX ET BON PÈRE / PRIEZ POUR LUI » (Haute stèle surmontée d’une croix).
(Demande de David Pelletier, Délégué auprès du Président)

Le 9 janvier 2024, la Mairie de Pocancy informe le Président de la sauvegarde de la sépulture de François Joseph Renom. Elle souhaite la collaboration de l’A.C.M.N. pour la restauration de la sépulture.

 

Reims (51100)

Intervention de l’A.C.M.N. auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de  Marie-Claude-Bernard Verrier, colonel d’artillerie. Il sert en Allemagne (1809), en Russie, commande le 6e d’artillerie à pied (1813), défend Magdebourg (1813-1814) : « À LA MÉMOIRE DE / MARIE CLAUDE BERNARD VERRIER, MARÉCHAL DE CAMP D’ARTILLERIE / EN RETRAITE, OFFICIER DE L’ORDRE ROYAL DE LA LÉGION D’HONNEUR / ET CHEVALIER DE S^T LOUIS / DÉCÉDÉ À RHEIMS LE 7 DÉCEMBRE 1837 / DANS SA 65^ÈME ANNÉE... » (Allée de droite en entrant, à gauche avant la chapelle. Monument avec ornements militaires
(Demande d’Éric Bertrand, Délégué Régional)

Réponse de la Mairie : « Vous avez souhaité nous sensibiliser à la présence de la sépulture de Marie Claude Bernard Verrier, ayant servi dans l’Armée sous le 1^er Empire. Cette sépulture est située près de l’entrée du cimetière et à proximité de la chapelle Sainte Croix. Le monument situé sur cette concession est recensé par nos services comme ayant un intérêt architectural et patrimonial remarquable. En conséquence, je vous confirme que sa conservation et sa sauvegarde sont assurées ».
Merci. M. Le Maire.

 

 

52 HAUTE-MARNE

Arnancourt (52110)
Intervention de l’A.C.M.N. auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de Charles Auguste Verrat.
(Demande de Guy Decoulonvillers)

Le 15 janvier 2024, la Mairie d’Arnancourt informe le Président :
« Je me permets de vous transmettre l'état civil concernant VERRAT Charles Auguste décédé dans notre commune le 28 mars 1878 à ARNANCOURT (Haute-Marne). Cet homme à été décoré de la Légion d'honneur et sa tombe est toujours existante dans notre cimetière. Il aurait fait une bataille de Napoléon. Un historien de votre association m'a contacté concernant l'identité de cet homme qui était un bourgeois pour effectuer le recensement. Sa tombe est encore en état de conservation dans notre cimetière. C'est un honneur dans notre commune d'avoir cette personne décorée de cette Légion d'honneur ».
Merci M./Mme le Maire !

 

Poinson-lès-Grancey (52160) (Demande 2023 – mise à jour 2024)
Intervention de l’A.C.M.N. auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture d’Antoine Salomon. Entré au 57^e de ligne (an XIII). Réformé (15 juillet 1807). Médaillé de Sainte-Hélène : « ICI REPOSE / LE CORPS DE ANTOINE / SALOMON DÉCÉDÉ LE  / 21 OCTOBRE 1857 » (Petite stèle surmontée d’un chapiteau). (Demande d’Alain Boiget)

Le 18 janvier 2024, la Mairie de Poinson-lès-Grancey informe le Président de la restauration et de l’entretien de la sépulture d’Antoine Salomon.

Le 26 février 2024,  la Mairie de Poinson-lès-Grancey informe le Président :
« Nous accusons réception de votre demande de conservation concernant la tombe d’Antoine Salomon, soldat napoléonien, médaillé de Sainte-Hélène. Des bénévoles du village vont relever la stèle, la restaurer et la Commune s’engage à poser une plaque sur pied à côté de la tombe pour signaler son statut particulier et, par delà, assurer sa conservation dans le temps ».
Merci M./Mme le Maire !

 

Roches-Bettaincourt (52270)

Intervention de l’A.C.M.N. auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de Nicolas Chaumont. Entré au 23^e dragons. Médaillé de Sainte-Hélène : « NICOLAS CHAUMONT ÉPOUX DE MARIE AUBERT DÉCÉDÉ À BETTAINCOURT LE 19 FÉVRIER 1861 À L’ÂGE DE 74 ANS » (Stèle avec la médaille de Sainte-Hélène gravée).
- la sépulture de Nicolas Collot. Entré à la 5^e légion de réserve (1808), passé au 7^e de ligne (1809). Il sert en Catalogne (1808-1809). Retraité (1810). Médaillé de Sainte-Hélène : « ICI / REPOSE / LE CORPS DE / NICOLAS / COLLOT, ANCIEN / MILITAIRE, ÉPOUX DE MARIE / PIERRET, DÉCÉDÉ À BETTAINCOURT / LE 6 AVRIL / 1860 ÂGÉ DE 70 ANS » (Stèle).
(Demande de Guy Decoulonvillers)

Le 1^er mars 2024, la Mairie de Roches-Bettaincourt informe le Président :
« A la demande de M. Decoulonvillers Guy, des recherches ont été menées dans notre ancien cimetière de Bettaincourt afin de retrouver des tombes de soldats des guerres napoléoniennes, médaillés de Sainte-Hélène, pour l'Association pour la conservation des monuments napoléoniens.
A ce jour, deux tombes ont pu être identifiées:
- Concession N° 10 Chaumont Aubert avec l'inscription: " Nicolas Chaumont époux de Marie AUBERT décédé à Bettaincourt le 19 février 1861 à l'âge de 74 ans"
- Concession N° 86 Collot Pierret avec l'inscription " Nicolas Collot ancien militaire époux de Marie PIERRET décédé à Bettaincourt le 6 avril 1860 à l'âge de 70 ans"
Vous trouverez en pièce jointe les photos de ces deux sépultures. Sur la seconde photo (pièce jointe n° 71), la concession Collot Pierret n'est pas celle qui apparaît en premier plan mais celle juste derrière à gauche, avec une plaque (en fonte?) posée au pied de la tombe».
Merci M./Mme le Maire !
 

Rouvroy-sur-Marne (52300)
Intervention de l’A.C.M.N. auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de  Jean Foissy. Entré à la 43^e demi-brigade de ligne (an VIII) devenu 43^e de Ligne (1803), caporal (an XI), caporal-fourrier, puis sergent (1806), sergent-major (1808), capitaine (1813). Il sert aux armées du Rhin, de Réserve. (Obélisque surmonté d’une croix, orné de la croix de la Légion d’honneur, à droite en entrant. (Demande de Guy Decoulonvillers)

Le 7 février 2024, la Mairie de Rouvroy sur Marne informe le Président : « Suite à l’entretien téléphonique que j’ai eu lundi avec Monsieur Guy Decoulonvillers, votre membre de l’association, vous trouverez des photos de la sépulture de l’officier que vous recherchez. Les inscriptions sur la stèle n’étant pas très nette vous trouverez ci-après le déchiffrage : « ICI / REPOSE M^R / FOISSY / CAPITAINE / EN RETRAITE / CHEVALIER DE / L’ORDRE IMPÉRIAL / DE LA LÉGION D’HONNEUR / NÉ L’AN 1779 / DÉCÉDÉ À ROUVROY / LE 28 9^BRE 1867 / DE PROFUNDIS. »
Je reste à votre disposition pour tout renseignement complémentaire dont vous pourriez avoir besoin ».
Merci M./Mme le Maire !

 

Vaux-sur-Saint-Urbain (52300)
Le 11 janvier 2024, la Mairie de Vaux sur Saint Urbain informe le Président de la sauvegarde et de l’entretien des sépultures de Louis Antoine, sous-officier de l’Empire, décédé le 27 janvier 1848 et de Jean Baptiste Pierre Alexandre, Médaillé de Sainte-Hélène.
Merci. M. Le Maire.

53 MAYENNE

Saint-Pierre-des-Nids (53370)
Intervention de l’A.C.M.N. auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de Louis Couturier.  Entré au 95^e de ligne (1806), caporal (mars 1810), congédié pour réforme (nov. 1810), revient comme sergent major à la 61^e cohorte, devenue 142^e de ligne (1812), adjudant sous-officier (1813). Il sert en Pologne, reçoit un coup de feu au bras gauche à Friedland, Espagne (1809-1810), présent à Ocaña, Talavera, et au siège de Cadix où il touché d’un coup de feu à la cuisse gauche (16 mars 1810) et dans la Grande Armée, présent à Lützen, Bautzen et Leipzig où il est fait prisonnier (19 oct. 1813) : « ICI REPOSE / LE CORPS / DE M^R LOUIS COUTURIER / CAPITAINE RETRAITÉ, CHEVALIER DE / LA LÉGION D’HONNEUR ET DE L’ORDRE DE / CHARLES III D’ESPAGNE, MÉDAILLÉ DE / S^TE HÉLÈNE / DÉCÉDÉ À / LA POÔTÉE / EN 1864 / DANS SA / 79^EME ANNÉE / …» (Stèle en forme de croix, le long d’un mur).
(Demande de la Vice-Présidente du Cercle d’Études Napoléoniennes)

Réponse de la Mairie : « Suite à votre courrier en date du 29 janvier 2024, je vous informe que les sépulture de Louis Couturier (1^er Empire) et François Preillon, Maître d’Hôtel de Napoléon III, sont toujours dans un état identique à celui des photos jointes à votre courrier. Les travaux effectués il y a 10 ans ont permis de stabiliser la tombe de Louis Couturier ».
Merci M./Mme le Maire !

54 MEURTHE-et-MOSELLE

Puxe (54800)
Intervention de l’ACMN auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de Jean Olivier Gaudin. Cavalier au Régiment Royal-Bourgogne cavalerie (1766) devenu 16^e de cavalerie, sous-lieutenant (1784), lieutenant (1787), capitaine 1792), passé lieutenant-colonel au 17^e de cavalerie (1793), général de brigade (1794). Il sert dans les armées du Nord, se distingue à Cateau-Cambrésis (29 mars 1794), Castillon (17 avril suiv.) et Nouvion (27 avril suiv.) et de Sambre-et-Meuse (1795). Admis à la retraite (1796) : « ICY REPOSE / LE CORPS DE M^R / GAUDIN JEAN OLIVIER / / ENCIEN (sic ) MARÉCHAL DE / CAMP DES ARMÉES DU / ROI, CHEVALIER DE S^T / LOUIS, DÉCÉDÉ LE 26 / DÉCEMBRE 1830 À L’ÂGE / DE 84 ANS. PRIEZ DIEU / POUR SON ÂME » (Stèle brisée gravée de deux sabres entrecroisés et d’une croix de Saint-Louis).
(Demande de Guy Decoulonvillers)

Le 19 août 2024, la Mairie de Puxe informe le Président de la sauvegarde de la sépulture de Jean Olivier Gaudin.

Le 16 septembre 2024, la Mairie de Puxe informe le Président : « Nous avons bien reçu votre bulletin d’information sur votre association, le 1^er adjoint, féru d’histoire, s’est empressé de le prendre, mais je ne manquerai de le lire dès qu’il me le rapportera en Mairie. Je vous remercie pour cet envoi ». 
Merci M./Mme le Maire !

Val-et-Châtillon (54480)
Intervention de l’ACMN auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture Charles-Gabriel-Ferdinand Forget de Barst.  Élève à l’École Polytechnique (1802), capitaine du génie. Il sert au 13^ème corps d’armée à Hambourg (1813) et au siège de Metz (Cent-Jours) : « ICI REPOSENT / - / F^AND FORGET DE BARST / 1891 – 1877 » (Stèle en forme d’obélisque).
(Demande de David Pelletier, Délégué auprès du Président).

Le 5 juillet 2024, la Mairie de Val et Châtillon informe le Président : « En réponse à votre courrier du 1^er juillet 2024, je vous informe qu’2022, j’ai fait remettre en état ce monument, avec l’accord de la Famille De Klopstein, à l’occasion de référencement de celui-ci par le Souvenir Français qui inventorie  les tombes des Morts pour la France dans notre cimetière ».
Merci M./Mme le Maire !

 

55 MEUSE

Arrancy-sur-Crusne (55230)
Intervention de l’ACMN auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de Chonet de Bollemont : « CHARLES CHONET DE / BOLLEMONT / LIEUTENANT GÉNÉRAL DU CORPS / ROYAL DE L’ARTILLERIE / CHEVALIER DES ORDRES / ROYAUX ET MILITAIRES DE / S^T-LOUIS ET DE LA LÉGION / D’HONNEUR / 20 JANVIER 1749 / 17 DÉCEMBRE 1815. » (Stèle contre le mur à l’angle nord-est). (Demande de Guy Decoulonvillers)

Le 3 juin 2024, la Mairie d’Arrancy-sur-Crusne informe le Président de la sauvegarde et de la restauration de la sépulture.
Merci M./Mme le Maire !

 

56 MORBIHAN

 

57 MOSELLE

 

 

 

58 NIÈVRE

Courcelles (58210)
Intervention de l’ACMN auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture Jacques-Alexandre-François Allix de Vaux: « ICI REPOSE / JACQUES-ALEXANDRE-FRANÇOIS / ALLIX / LIEUTENANT-GÉNÉRAL D’ARTILLERIE / NÉ À PERCY (MANCHE) LE 22 XII 1768 / DÉCÉDÉ À SA TERRE DE BAZARNES / LE 26 JANVIER 1836 / PROSCRIT 3 FOIS PENDANT LES GUERRES / DE LA RÉVOLUTION FRANÇAISE / PAR LES DIVERSES TYRANNIES / A PARTICIPÉ À QUATRE-VINGT-TROIS COMBATS / OU BATAILLES. / BLESSÉ HUIT FOIS. / LA VIE EST LA CONDITION DE LA MORT. / L’UNIVERS A TOUJOURS ÉTÉ / ET SERA TOUJOURS CE QU’IL EST » Le cœur du général repose à Percy (Manche). (Demande de Michaël François)

Le 8 août 2024, la Mairie de Courcelles informe le Président :
« La tombe du Général Allix est bien entretenue par la Commune et est plutôt en bonne état. Elle est située près de l’église et du monument aux morts et non pas au cimetière ».
Merci M./Mme le Maire !

 

Moulin-Engilbert (58290) (Demande 2021 – mise à jour 2024)
Intervention de l’ACMN auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de Marie Jean-François Guillier de Chalvron. Élève à l’École militaire de Saint-Cyr (1807), sous-lieutenant au 21^e léger (1808), capitaine au 23^e léger (1813). Il sert en Espagne (1808-1813) et en Saxe, reçoit un coup de feu à la jambe et fait prisonnier à Leipzig par les Russes : « M. J. F. GUILLIER / DE CHALVRON / CHEF DE BATAILLON / OFFICIER DE LA LÉGION D’HONNEUR / CHEVALIER DE SAINT LOUIS ET DE / SAINT FERDINAND D’ESPAGNE / J. DE LA FERTE / MEUN SA VEUVE ». Puis : « ÉLÈVE DE / L’ÉCOLE MILITAIRE EN 1807 / A FAIT LES CAMPAGNES / DE 1808, 9, 10, 11, 12, 13, 14 / 15, 23, 24 et 34 / BLESSE A LEIPZIK ». Ensuite : « NE A VEZELAY LE 24 / JANVIER 1790 / MORT LE 16 MARS 1841 ». Et : « QUANDO ULLUM INV- / ENIET PAREM / MULTIS ILLE BONIS FLEB- / ILIS OCCIDIT». (A gauche en bas de l’allée centrale, obélisque avec torches renversées, surmontée d’une urne).
(Demande de Jean Marc Auger)

Le 20 mars 2024, la Mairie de Moulin Engilbert informe le Président de la sauvegarde et de la restauration de la sépulture de Marie Jean-François Guillier de Chalvron.
Merci M./Mme le Maire !

 

59 NORD

Flers-en-Escrebieux (59128)
Intervention de l’A.C.M.N. auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture d’Augustin Hecquet (1785-1847). Soldat de Napoléon de 1806 à 1814. Il a fait la Campagne de Russie, a été blessé à Leipzig. Il a été décoré de la Légion d’honneur en 1813.
(Demande de Françoise Signoret)

Lallaing (59167)
Intervention de l’A.C.M.N. auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la tombe du général Nicolas-Joseph Scalfort. Dragon au régiment de Lanan (1768), devenu 4^e chasseurs, général de brigade (1803), il sert à la 3e division de dragons du général Beaumont de la réserve de cavalerie (1805) puis à l’armée de Naples. Baron de l’Empire (1808), il commande le dépôt de cavalerie en Italie (1809). Retraité (1809) : « ICI / REPOSENT / NICOLAS JOSEPH SCHELFONDT / BARON SCALFORT / GÉNÉRAL DE CAVALERIE / COMMANDEUR DE LA LÉGION D’HONNEUR / NÉ À DOUAI LE 16-02-1752 / DÉCÉDÉ À LALLAING / LE 8 NOVEMBRE 1833 / ET SA FAMILLE. » (Colonne entourée d’une grille à gauche du porche de l’église).     
(Demande de Jean Michel Bastien)

Réponse de la Mairie : « J’ai bien pris connaissance de votre courrier en date du 7 juin relatif à la conservation et la restauration des monuments napoléoniens dont la sépulture du général Nicolas Joseph Scalfort. Je tiens à vous informer que celle-ci est toujours au même endroit , à l’extérieur du côté droit de la porte d’entrée de l’Église ».
Merci M./Mme le Maire !

 

60 OISE
 

Chantilly (60500) (Demande 2020 – mise à jour 2024)
Intervention de l’ACMN auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de Bertrand Bessières.
Le frère du maréchal naquit comme lui à Prayssac (Lot), le 10 janvier 1773. Il s’engage comme soldat au 17^e régiment de cavalerie (ci-devant Berry-cavalerie), le 15 août 1791. Il sert aux armées du Centre et du Nord et est nommé provisoirement sous-lieutenant, le 5 novembre 1793. Confirmé le 19 janvier 1795. Lieutenant, le 7 juillet 1795.  Il sert en Italie, 1795-1797 et devient capitaine dans les guides de Bonaparte, 3 juin 1797. Il accompagne donc ce dernier en Égypte, 1798-1801. Nommé chef d’escadron sur le champ de bataille d’Aboukir, le 1^er août 1799 et chef de brigade du 11^e Chasseurs à cheval le 11 janvier 1800. Il rentre en France avec Menou fin 1801. Il est affecté à la brigade Margaron de la Grande Armée en Autriche, 1805-1806 et blessé d’un coup de feu à la tête à Austerlitz le 2 décembre 1805. Nommé général de brigade le 24 décembre 1805, il commande une brigade de Chasseurs à cheval en Italie, 17 juin 1806. Il sert en Catalogne, 1808-1810 et commande la cavalerie sous Duhesme à la bataille de Molins del Rey le 30 juin 1808. Au 5^e Corps de l’Armée d’Espagne sous Gouvion-Saint-Cyr, 7 septembre, puis au 7^e Corps de ladite armée, 20 octobre 1808 et sous Souham en décembre 1808. Commande une brigade de dragons, 7 décembre 1809 ; division Trelliard à l’Armée du Portugal, mai 1810.
Rappelé en France et employé à la division de cuirassiers Saint-Germain, 5 décembre 1811. Commanda la 1^re brigade de la 1^re division de cuirassiers (Saint-Germain), 25 décembre, puis la 2^e brigade de la même division au 1^er juillet 1812. Sert en Russie, 1812, blessé d’un coup de mitraille à l’épaule gauche à la Moskowa, le 7 septembre 1812. Commande la 2^e brigade de la 1^re division (Bordessoule) du 1^er Corps de cavalerie de la Grande Armée, 1^er mars 1813. Servit en Saxe, 1813. Blessé d’un coup de sabre à la tête à Leipzig le 18 octobre 1813. Commandant de la Légion d’honneur, 28 novembre 1813 ; disponible, 13 janvier 1814. Mis en non-activité, 1^er septembre 1814, chevalier de Saint-Louis, 26 octobre 1814, commandant le département du Doubs, 23 janvier 1815, le département du Lot-et-Garonne, 15 avril, mis à la disposition du ministre pour commander un dépôt de cavalerie, 3 juin, mis en non-activité, 25 juillet 1815. Lieutenant-général, 21 avril 1821 ; admis à la retraite, 1^er décembre 1824 ; relevé de la retraite et placé dans la section de réserve du cadre de l’état-major général, 1^er janvier 1853. Il meurt à Chantilly dans l’Oise, le 15 novembre 1854 et repose au cimetière Bourbillon de cette ville. Son nom est inscrit au côté sud de l’Arc de Triomphe de l’Etoile.
(Demande de Dominique Timmermans, Vice-président)

Le 29 mai 2024, Monsieur Fedele informe le Président de la restauration de la sépulture. Initiative Privée.

 

61 ORNE

 

62 PAS-DE-CALAIS

Béthune (62400)
Intervention de l’ACMN auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de Adolphe de Belonnet, capitaine sous l’Empire, ultérieurement général.
(Demande de Guy Cartiaux)

Le 5 avril 2024, la Mairie de Béthune informe le Président : « J’accuse réception de votre courrier en date du ? avril 2024 au sujet de la conservation et la restauration des monuments napoléoniens. La Ville de Béthune travaille actuellement sur la mise en récit de l’histoire du cimetière nord de Béthune. Comme mentionné dans votre courrier, un pupitre a été installé devant la tombe de Adolphe de Belonnet. C’est une première étape dans la valorisation de cette tombe. Nous travaillons actuellement sur un plan pluriannuel pour intervenir sur la restauration de monument dans ce cimetière. Je prends note de l’état de la tombe de Adolphe Belonnet ».

Merci M./Mme le Maire !

Note : Il y a manifestement  une erreur. Le pupitre mentionnant la biographie du général se trouve devant la tombe d’Adolphe Henri Charles de Bellonet, ancien maire, qui porte les inscriptions « ICI REPOSE /  MONSIEUR / ADOLPHE HENRI CHARLES/ DE BELLON(N)ET / ANCIEN MAIRE DE BÉTHUNE / 1837 à 1862 / OFFICIER DE LA LÉGION D’HONNEUR/ NÉ À BÉTHUNE LE 2? JUIN 1791 / DÉCÉDÉ À BÉTHUNE LE ??? » Le militaire, capitaine sous l’Empire, s’appelle Adolphe Pierre Marie de Bellonet, fils de Henry Marie de Bellonet et de Marie Anne Constance Josèphe de Surmont. Général de Division, Commandeur de la Légion d'honneur, né le 29 juin 1789 à Béthune, mort le 22 septembre 1851 à Paris.  Il ne s’agit donc pas de la même personne ! Le pupitre est donc erroné, à moins que le général ne repose dans la même tombe, mais sans aucune inscription. 
Mais où est alors inhumé le général ? A Paris ?

 

63 Puy-de-Dôme
 

64 Pyrénées- atlantiques
 

65 Hautes-Pyrénées
 

67 Bas-Rhin

Strasbourg (67000)
Intervention de l’ACMN auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de Louis Conrad Bartel. Il est décoré de la médaille de Sainte-Hélène. Il est né le 22 février 1789 à BOUXWILLER. Il est décédé le 8 décembre 1860 à Strasbourg. Il était Officier du Train

- la sépulture de Jean Michel Letz. Il est né le 24 juin 1787 à Strasbourg. LH//1623/21

- la sépulture de Louis Gonzague de Wangen de Geroldsck. Secrétaire de la Chambre de commerce de Strasbourg de 1803 à 1806. Maire de Strasbourg de 1806-1810.

- la sépulture de Jean François Molique.

- la sépulture de Jean Frédéric Fix

(Demande d’Éric Bertrand, Délégué Régional)

Le 1^er octobre 2024, la Mairie de Strasbourg informe le Président :
« Pour donner suite à vos courriers du 22 juillet 2024 ainsi qu’à notre échange téléphonique du 19 septembre dernier concernant la sauvegarde de plusieurs tombes napoléoniennes. A noter que ces sépultures ont toutes le caractère de tombe perpétuelle. Elles se voient ainsi maintenues pour la durée du cimetière. Bien qu’ayant subi les aléas du temps, les monuments de ces tombes sont dans un état acceptable et ne présentent pas de danger pour les personnes et les biens ».
Merci M./Mme le Maire !

 

 

 

68 Haut-Rhin

Neuf-Brisach (68600) (Demande 2014 – mise à jour 2024)
Intervention de l’ACMN auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de Jean-Antoine Gheneser, dit Frédéric, est né le 12 septembre 1766 à Riga, en Lettonie. Il entre au service du roi de France dès 1787, à la compagnie de chasseurs du régiment Royal-Italien. Caporal en 1788, ce bon soldat est déjà sergent en 1790. Il fait les campagnes de 1792 à 1795 à l’Armée du Rhin et est nommé sous-lieutenant en septembre 1792, puis lieutenant 17 mois plus tard. Il se retrouve capitaine deux ans plus tard, est blessé d’un coup de feu au bras gauche à Ingolstadt en 1796 et à Seravalle par les Russes en 1798. Grièvement blessé, il ne rend la place qu’après avoir perdu les trois quart de ses hommes. Il fait les campagnes de 1805-1807 et est blessé à nouveau à Golymin en décembre 1806.  Il termine la campagne de Pologne comme chef de bataillon au 16^e Léger. Ensuite c’est l’Espagne : l’Empereur le cite en exemple comme un des officiers d’avant-poste les plus distingués de l’Armée à la revue de Burgos, le 22 novembre 1808. Gheneser se distingue une nouvelle fois à la prise de Madrid, le 3 décembre 1808, est blessé au bras gauche par un biscaïen à Talavera en 1809. Le 6 novembre 1811, à Bornos, son régiment, fort de 800 hommes, repousse les attaques de 7 500 Espagnols. Il est nommé major en 1813, quand il rejoint la Grande Armée en Saxe. Il y est blessé devant Dresde, le 27 août 1813, puis encore deux fois dans les jours qui suivent ! Il est enfin nommé colonel le 14 septembre 1813, après 26 ans de bons et loyaux services, et commande le 32^e Léger, puis le 37^e Léger. C’est avec ce régiment qu’il participe à la campagne de France de 1814. Lors des Cent-Jours, il commande le 85^e de Ligne, qui devient le 104^e le 25 avril 1815. Avec ce régiment, il participe à la défense de Strasbourg. Neuf fois blessé au cours de sa carrière militaire, il est mis à la retraite en juillet 1816 et est naturalisé français deux mois plus tard. Il décède à Neuf-Brisach le 24 septembre 1851. (Demande de Dominique Timmermans, Vice-président)

Le 17 mars 2024,  André Roediger informe le Président : « Lors de ma visite de ce jour au cimetière de Neuf Brisach j'ai malheureusement du constater que la tombe du lieutenant colonel Gheneser est tout simplement en voie de disparition. Celle de Françoise Gheneser née Meyer est envahie par les lierres. Votre demande de l'année 2014 est restée lettre morte… ».

Nouvelle demande d’intervention de l’ACMN auprès de la Mairie.

Le 2 mai 2024, la Mairie de Neuf-Brisach informe le Président :

« Nous avons bien reçu votre courrier du 13 avril 2024, dans lequel vous attirez notre attention sur l’entretien de la tombe du Général Gheneser. Nous avons pu constater la présence d’algues et de lichens sur la tombe. D’autres tombes étant atteintes des mêmes altérations, la Commune va engager une réflexion globale sur l’entretien de son cimetière et déterminer quelles sont les tombes relevant de sa responsabilité et quelles sont celles appartenant à des particuliers. Consciente de la richesse de son patrimoine historique, la Commune engage actuellement des actions de valorisation. Dans ce cadre, le cimetière abrite de nombreuses tombes de personnalités dont la municipalité souhaite la conservation et la valorisation. Par ailleurs, sachez que notre correspondant presse a consacré un article au lieutenant-colonel Gheneser, et l’évoque encore dans un article plus récent sur le cimetière de Neuf-Brisach ».
Merci M./Mme le Maire !

 

 

 

69 Rhône

Bully (69210) (Demande 2023 – mise à jour 2024)
Intervention de l’ACMN auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture d’ Antoine-Marie Merlin. Entré au 1^er de ligne (1813). Il sert en Saxe et en Belgique. Médaillé de Sainte-Hélène : « ICI REPOSENT / ANTOINE MERLIN / NÉ EN 1794 / DÉCÉDÉ 26 MAI 1867 / ANCIEN LIEUTENANT / DE LA GARDE NATIONALE / … » (Haute stèle surmontée d’une croix, le long d’un mur).
(Demande de David Pelletier, Délégué auprès du Président).

Le 31 janvier 2024, la Mairie de Bully informe le Président :
« A la suite des courriers reçus en Mairie et de notre échange téléphonique, je vous confirme que la concession n° 31 dans le carré 2 ayant un monument napoléonien est entretenue. Cette concession à perpétuité (ainsi que les monuments funéraires) est entretenue et appartient aux familles Mirio, Merlin et Jard. Nous n’avons malheureusement pas plus de précisions concernant les concessionnaires actuels et leurs coordonnées ».
Merci M./Mme le Maire !

Lyon (69001)
Intervention de l’ACMN auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de François-Xavier-Jean-Benoit Reverchon. Entré au 4^e Gardes d’honneur à l’âge de 16 ans (juin 1813). Médaillé de Sainte-Hélène : « ICI REPOSENT / FRANÇOIS XAVIER REVERCHON / ANCIEN NÉGOCIANT / NÉ À SAINT-CLAUDE, JURA, LE 9 AVRIL 1797 / DÉCÉDÉ À LYON LE 20 OCTOBRE 1869 / … ». (Haute stèle dans le même enclos).
(Demande d’Éric Casadevall, Délégué Régional)

Réponse de la Mairie : « Par ce courrier, je tiens à vous indiquer que je prends bonne note de votre demande. Il nous faut travailler, de façon plus globale, cette question de la prise en charge des sépultures à titre honorifique, afin de définir un cadre et des procédure claires applicables à la Ville de Lyon. Je me saisis donc de votre demande pour ouvrir ce chantier. En conséquence, je reviendrais vers vous dans le courant de l’année, le temps de pouvoir avancer sur ce sujet en interne ».
Merci M./Mme le Maire !

 

71 SAÔNE-ET-LOIRE

Saint-Yan (71600)
Intervention de l’ACMN auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de Jean-Baptiste-Grégoire Delaroche. Engagé au régiment de Viennois à 17 ans (1784), sous-lieutenant au 12^e chasseurs à cheval (1792), général de division (1808), commandant de la 7^e division militaire (1809). Baron de l’Empire (1808). (Demande de Guy Decoulonvillers)

Le 1^er juillet 2024, la Mairie de Saint Yan informe le Président que la sépulture du général Delaroche est sauvegardée.

 

72 SARTHE

 

73 SAVOIE
 

 

75 Paris

PARIS 1er
 

PARIS 14e
Cimetière de Montparnasse

1^re division
Intervention pour la sauvegarde de :
- la sépulture de Pierre Amédée Zédé. Entré à l’École Polytechnique (1809) puis à l’École d’application du génie maritime (1811), lieutenant dans le corps des ouvriers militaires avec le 2^e bataillon de l’Escaut (1812). Il sert dans la Grande Armée, présent à Lützen, Bautzen, Dresde, Leipzig et au siège de Torgau jusqu’à sa reddition (10 janvier 1814). (Haute stèle familiale).
(Demande de Guy Decoulonvillers)

Le 22 août 2024, le cimetière du Montparnasse informe le Président de la sauvegarde de la sépulture de Pierre Amédée Zédé.

 

PARIS 16e
Cimetière d’Auteuil
 

 

 

PARIS 18e

Cimetière de Montmartre
 

PARIS 20e
Cimetière de l'Est, dit du Père-Lachaise

Intervention pour la sauvegarde de :
- la sépulture de Casimir Skarzynski. Il commence son service militaire en 1806, avec le grade de sous-lieutenant de l'armée française. En tant qu'officier d'état-major du maréchal Lannes. Il participe à la campagne prussienne en Poméranie. En 1807, il rejoint l'armée du Duché de Varsovie. Il est lieutenant dans les rangs de Dombrowski. Il s'aligne dans les campagnes d'Autriche de 1809 et de Moscou en 1812, adjudant sous le commandement du général Aleksander Rozniecki. Il est à la tête d'un escadron de 6^e Lanciers, a combattu à Leipzig, Lobau et fait la campagne de France. Il partage sa sépulture avec le Gal Gawronski.  Il est le frère d'Ambroise Skarzynski qui s'illustra à Berry-au-Bac. (Demande d’Éric Bertrand, Délégué Régional)

Le 10 octobre 2024, le Cimetière du Père Lachaise informe le Président :
« Par courrier du 2 avril 2024, vous avez bien voulu appeler notre attention sur la concession funéraire n° 639 PP 1856 (division 53 cadastre 43) dans laquelle repose le Général Casimir  Skarzynski. Vous souhaitez savoir si l’administration a procédé à la sauvegarde de cette sépulture. Je tiens tout d’abord à m’excuser pour le délai tardif de notre réponse. Concernant la concession funéraire, nous vous informons que celle-ci n’a pas fait l’objet d’une reprise administrative et qu’elle appartient aujourd’hui aux héritiers du concessionnaire d’origine, le général Stanislas Gawronski (également inhumé dans cette sépulture) ».
Merci.

 

76 Seine-Maritime

Baons-le-Comte (76190)
Intervention de l’ACMN auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de Michel André Fessard. Sous-lieutenant au 23^e de ligne. Il sert du 9 mai 1793 au 4 avril 1804. Médaillé de Sainte-Hélène : « ICI REPOSE / MICHEL FESSARD / ANCIEN OFFICIER DE L’EMPIRE / DÉCÉDÉ LE 3 OCTOBRE 1857 / À L’ÂGE DE 87 ANS » (Stèle couchée).
(Demande de David Pelletier, Délégué auprès du Président).

Hautot sur Seine (76113)

Intervention de l’ACMN auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de Louis-Geneviève Lézurier de La Martel. Président de la Chambre de Commerce de Rouen, trésorier de la 14^e cohorte de la Légion d’honneur, dont le siège était à l’abbaye du Bec-Hellouin. Baron de l’Empire sous la dénomination de la Martel, député de la Seine-Inférieure (1810), maire de Rouen (1813-1815) : « CI GIT / MONSIEUR / LOUIS GENEVIÈVE / LÉZURIER / BARON DE LA MARTEL, / ANCIEN MAIRE DE ROUEN, / OFF^R DE LA LÉG^N D’HONNEUR, / NÉ À ROUEN LE 25 MAI / 1765. / DÉCÉDÉ À S^TE VAUBOURG / LE 23 JANVIER 1852 / MUNI DES SACREMENTS DE L’ÉGLISE / DIEU AVAIT DESTINÉ / SON ÂME À SA VIE ET N’A POINT PERMIS / QUE SES PIEDS / EUSSENT ÉBRANLÉS / PS  … ». (Demande de Guy Decoulonvillers)

Le 25 mars 2024, la Mairie de Hautot sur Seine informe le Président : « La sépulture de Louis-Geneviève Lézurier de la Martel est sauvegardée et entretenue par la Mairie. Concernant d'autres tombes du cimetière de l'église d'Hautot, on trouve celle de Louis Lézurier, Baron d'Empire (DE LA MARTEL) décédé en 1852, député, maire de Rouen puis d'Hautot-sur-Seine. On trouve celle de son petit-fils Louis Stanislas Fizeaux, Baron de la Martel, Lieutenant de vaisseau décédé pendant la guerre de Crimée en 1855, tombe au sein d'un carré  familial. L’épitaphe de la tombe est la suivante : « CI GIT  / LOUIS STANISLAS FIZEAUX / BARON DE LA MARTEL / LIEUTENANT DE VAISSEAU /  CHEVALIER DE LA LÉGION D’HONNEUR / NÉ À VALENCIENNES / LE 13 MAI 1816 / DÉCÉDÉ À TOULON  /  LE 28 MARS 1855  / MUNI DES SAINTS SACREMENTS DE L’ÉGLISE / REQUIESCAT IN PACE ».
Merci M./Mme le Maire !

Le Grand-Quevilly (76120)

Intervention de l’ACMN auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de Jean Nicolas Defosse
- la sépulture de Louis Aimable Dauphin Saint Martin
(Demande de Guy Decoulonvillers)

Le 18 mars 2024, la Mairie de Le Grand Quevilly informe le Président :
«Suite à ma discussion avec M. Guy Decoulonvillers, veuillez trouver en pièce jointe les actes de décès de 2 personnes ayant fait les guerres napoléoniennes et dont la sépulture existe toujours en notre cimetière.
- Defosse Jean Nicolas, décédé le 10.04.1868.  Emplacement cimetière : A - 2 - 5
- Saint-Martin Louis Aimable Dauphin, décédé le 22.06.1868. Emplacement cimetière :
A - 4 – 10. Espérant vous avoir aidé modestement dans votre travail ».
Merci M./Mme le Maire !
 

Mesnil-Esnard (76240) (Demande 2023 – mise à jour 2024)
Intervention de l’ACMN auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture Louis François Deschamps, médaillé de Sainte-Hélène, ancien grenadier à Cheval de la Garde impériale, 2^e régiment, né 1792 à Maromme (76), décédé au Mesnil-Esnard en 1858. Il participe aux batailles de Lützen et de Bautzen en 1813.
(Demande de Joël Beauvais)

Réponse de la Mairie : « Par courrier reçu le 23 novembre dernier, vous faites part de votre souhait de voir conserver la sépulture de Monsieur Louis François Deschamps, médaillé de Sainte-Hélène, ancien Grenadier à cheval de la Garde Impériale, 2^e régiment. Je vous remercie de l’intérêt que vous portez à la Commune, à son histoire et à son cimetière. Votre courrier nous a permis de découvrir l’histoire de Monsieur Deschamps et je vous en remercie. La concession dans laquelle il a été inhumé fait l’objet d’une procédure de reprise compte tenu de son état d’abandon. A l’issue de cette procédure, si aucune famille ou ni aucun descendant ne s’est manifesté, la Commune sera en mesure de la récupérer. Je m’engage à la conserver au regard des informations fournies. Je tiens malgré tout à préciser que, depuis des années, un arbre a été planté sur la concession endommageant le monument. Je ne peux totalement garantir du résultat des travaux de conservation. Je vous propose de prendre contact avec mes services si vous souhaitez un complément d’informations ».  Merci M./Mme le Maire !

Le 31 janvier 2024, Joël Beauvais informe le Président : « Je vous remercie d’avoir agi vers la Mairie dont j’ai bien noté la teneur. Cet arbre est bien gênant, nous allons tenter de le faire disparaître le plus rapidement possible ».

 

77 Seine-et-Marne

Fontainebleau (77300) (Demande 2023 – mise à jour 2024)
Intervention de l’ACMN auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture d’André-Pierre Masson. Volontaire au 2^e bataillon de la Côte d’Or (1791), capitaine à 57e demi-brigade de ligne (an IX), passé dans la Garde aux grenadiers à pied (1806), capitaine au 1er tirailleurs-grenadiers devenu 1er tirailleurs (1810), chef de bataillon au 6e tirailleurs (1811), chef de bataillon au 1er tirailleurs (1813), colonel-major du 3e tirailleurs (août 1813), colonel du 73e de ligne, par décret impérial du 19 avril 1815 (redevenu 85e de ligne pendant les Cent-Jours). Il sert dans la Grande Armée, Espagne, Autriche, Espagne, Russie, Saxe, se signale à Dresde et à Eisenach, et en Belgique. Inscription brisée : « ICI REPOSE / ANDRÉ PIERRE MASSON / COLONEL EN RETRAITE / COMMANDEUR DE L’ORDRE / ROYAL DE LA LÉGION / D’HONNEUR, CHEVALIER DE S^T LOUIS / DÉCÉDÉ LE 7 JUILLET 1829 / ÂGÉ DE 59 ANS »
(Tombe à l’état d’abandon, une tête de mort est dessinée sur la pierre.
(Demande de Jean Michel Saincierge).

Réponse de la Mairie : « Veuillez nous excuser pour ce retour tardif à votre courrier portant sur la demande de restauration d’une sépulture napoléonienne située au cimetière de Fontainebleau. La Ville de Fontainebleau est, comme vous le savez, très attachée à son histoire, à son héritage napoléonien et à la conservation de son patrimoine. Nous veillons également à honorer la mémoire de nos anciens combattants : en 2023, nous avons, par exemple, effectué la rénovation complète du parvis du Monuments aux Morts de Fontainebleau. Concernant la sépulture d’ André-Pierre Masson, qui est en effet dans un état très dégradé, nous ne serons malheureusement pas en mesure d’intervenir, et ce, pour plusieurs raisons :
1°). L’entretien de ce monument (certes remarquable) incombe aux éventuels héritiers et non à la Commune
2°). Le cimetière communal comprend plusieurs centaines de sépultures de personnalités historiques, et plus d’une dizaine de tombes de vétérans napoléoniens, la plupart en (très) mauvais  état.
Nous sommes donc au regret de vous informer que nous ne sommes pas en mesure de restaurer ce monument . M. Masson étant récipiendaire de la Légion d’honneur, peut-être pourriez vous solliciter le Comité local de la Société d’Entraide des Membres de la Légion d’honneur pour procéder à cette restauration. Nous remercions l’ACMN pour son action de protection et de sauvegarde des monuments qui se rapportent à l’histoire napoléonienne et espérons que vous serez en mesure de trouver de l’aide pour la restauration de cette sépulture »
Merci M./Mme le Maire !

 

Melun (77000) (Demande 2023 – mise à jour 2024)

Intervention de l’A.C.M.N. auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de Nicolas-Thomas Balot. Entré au fusiliers grenadiers de la Garde impériale (1812), passé caporal au 6^e tirailleurs (1813), puis au 107^e de ligne, sergent (idem), admis au grenadiers à pied de la Garde impériale. Il sert en Saxe, présent à Leipzig, et en Belgique. Médaillé de Sainte-Hélène : « À LA MÉMOIRE / DE THOMAS BALOT / DÉCORÉ DE LA LÉGION D’HONNEUR / DÉCÉDÉ LE 20 7^BRE 1865 / À L’ÂGE DE 77 ANS » (Dalle).
(Demande de David Pelletier, Délégué auprès du Président)

Le 24 janvier 2024, la Mairie de Melun informe le Président de la sauvegarde et de l’entretien de la sépulture.
Merci M./Mme le Maire !

 

Ville-Saint-Jacques (77130) (Demande 2023 – mise à jour 2024)
Intervention de l’ACMN auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de Jacques Mathurin Buffeteau. Il est né le 15 janvier 1786. Éclaireur de la Garde de l’Impératrice en 1814 et 1815.
- la sépulture de Sulpice Niclot. Il est né le 23 octobre 1785. Fusilier au Régiment /4e Cie 2e Bat pour les périodes du 23 mai 1810 au 18 novembre 1814. 4 Campagnes.
(Demande de Patrick Goubin)

Le 16 janvier 2024, la Mairie de Saint-Jacques informe le Président :
« Je fais suite à votre courrier concernant la sauvegarde des sépultures de Jacques Mathurin Buffeteau et de Sulpice Niclot. Il n’y a pas lieu pour la Commune de procéder pour le moment à la sauvegarde de ces sépultures : elles sont entretenues par les ayants droit ». Merci M./Mme le Maire !

78 YVELINES

Houdan (78550) (Demande 2018 – mise à jour 2024)
Intervention de l'ACMN auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de Paul Jean Louis Rossignol-Dupré, colonel du 15^e chasseurs à cheval. Entré au 15e chasseurs (1793), maréchal des logis (1795), sous-lieutenant (1798), capitaine (1803), chef d’escadron (1813). Il sert aux armées de l’Ouest, Italie, Pologne, Espagne et Portugal (1808-1814), reçoit un coup de feu à la cuisse à Toulouse. (Par l’allée principale dite des Grandes-Portes, stèle entourée d’une grille avec palme du Souvenir français, à droite de la chapelle Vian-Desrues ; tombe à l’état d’abandon et en procédure de reprise en 2008, le nom de Rossignol-Dupré est à peine lisible. Restaurée par la mairie en 2019 suite à l'intervention de l'ACMN en 2018).
- la sépulture de Jean-Marie Songeon, né le 3 avril 1771 à Annecy (royaume de Sardaigne), mort le 28 septembre 1834 à Maulette (Yvelines). Il entre en service le 10 juin 1787, comme apprenti canonnier dans l’artillerie des colonies, il devient canonnier en second le 10 novembre 1787, canonnier en premier le 15 juillet 1788 et artificier le 30 août 1789. Il fait les campagnes de 1787 à 1790, à Saint-Domingue et il reçoit un coup de feu à la jambe droite le 10 mars 1790, à la bataille de Saint-Marc, où il commande deux pièces de montagne. Il est congédié le 15 octobre 1791 pour cause de blessure. Il reprend du service le 1^er mars 1793 et le 7 juin il est élu capitaine dans le 5^e bataillon de volontaires du Mont-Blanc. Lieutenant-colonel en second le 9 du même mois, il sert à l’Armée des Pyrénées orientales. Le 17 novembre 1794, à la bataille de Saint-Laurent-de-la-Monga, il fait prisonnier le duc de Grillon-Mahon, auquel il sauve la vie, malgré le décret de la Convention nationale, qui défendait sous peine de mort, de faire aucun quartier aux émigrés français. Il est blessé d’un coup de feu à la cuisse gauche le 26 mai 1795, au combat de Bascara et le 14 juin suivant, à l’affaire des Moulins, il reprend aux Espagnols le drapeau enlevé à son bataillon. Le 27 avril 1796, il est attaché à la 20^e demi-brigade de ligne, devenue 11^e demi-brigade d’infanterie et il sert avec ce corps en Italie de l’an V à l’an VI. Il est blessé au côté droit le 5 août 1796, à la bataille de Castiglione et il est élevé au grade de chef de bataillon le 13 décembre 1797, à la 14^e demi-brigade de ligne. En 1798, il est appelé à l’état-major du général Joubert, en qualité d’officier d’ordonnance et le 26 janvier 1799, il est envoyé à Naples, pour prendre le commandement du quartier général de l’Armée de Naples. Le 16 mai 1799, il passe auprès du général Garnier, comme aide de camp, et le 2 août 1801, il est affecté à la 19^e demi-brigade de ligne. En l’an XI, il est employé au camp de Boulogne et le 22 décembre 1803, il obtient le grade de major du 28^e régiment de ligne. Il est fait chevalier de la Légion d’honneur le 25 mars 1804. Il est nommé colonel le 1^er février 1805, au 53^e régiment d’infanterie de ligne et en septembre, il rejoint l’Armée d’Italie. Le 18 octobre 1805, au passage de l’Adige, il a un cheval tué sous lui, et il devient adjudant-commandant le 30 mars 1809. Il se distingue le 16 avril 1809, à la bataille de Sacile et le 21 avril, il reçoit le commandement de la place de Rocca-d’Anfo et de la lisière du Tyrol septentrional. Il est fait chevalier de l’Empire le 15 août 1809, et le 21 il est envoyé en Moravie pour exercer les fonctions de chef de l’état-major du prince d’Essling. Le 1^er mars 1810, il est nommé commandant supérieur des îles de Room, de Hellevoetsluis et de la Brielle en Hollande. Le 28 octobre 1810, il est chargé à Avignon d’organiser les bataillons de marche destinés à l’Armée de Catalogne et le 24 novembre suivant, il prend les fonctions de chef d’état-major de la 2^e division du 9^e corps de l’Armée du Portugal. Le 21 mars 1811, à la suite de la dissolution de l’Armée du Portugal, il assume les mêmes fonctions au 7^e gouvernement de l’Espagne (Salamanque) et il est appelé le 14 septembre 1811 au commandement supérieur de la province de Zamora, puis à celle de Burgos le 4 février 1812. Le 19 juin 1813, il est chef d’état-major et commandant de l’aile gauche de la ligne de défense de la place de Saint-Sébastien et il se distingue les 25 et 27 juillet suivant. Lors de cette dernière, il fait 180 prisonniers et il est atteint de deux balles, puis il se couvre de gloire dans sa sortie du 31 août, défendant la brèche attaquée par l’ennemi, il le force après des efforts multipliés à abandonner le terrain qu’il avait conquis. Il est fait prisonnier le 9 septembre 1813, avec le reste de la garnison, après 77 jours de siège. Conduit dans une prison en Angleterre, il apprend sa promotion au grade de général de brigade le 25 novembre 1813. Remis en liberté le 30 avril 1814, il est nommé commandant du département du Mont-Blanc le 7 août 1814 et le 13 août, il est envoyé en Prusse pour y négocier l’échange des prisonniers de guerre. Il est fait chevalier de Saint-Louis le 14 août 1814. Pendant les Cent-Jours, l’Empereur lui confie l’inspection générale de la cavalerie dans les 14^e et 15^e division militaire. Le 12 juin 1815, il commande la Garde nationale de Paris. Lors de la Seconde Restauration, le duc de Feltre ignore toutes ses demandes pour être admis de nouveau au service. Il est admis à la retraite le 30 octobre 1816 et il est naturalisé français le 30 janvier 1817. Relevé de sa position de retraite et compris comme disponible dans le cadre de l’état-major général le 22 mars 1831, Louis-Philippe, le fait officier de la Légion d’honneur le 1^er mai 1831 et commandant le département de la Seine-Inférieure le 29 août 1832. Il est admis à la retraite le 1^er mai 1833. Il meurt le 28 septembre 1834, au château de Maulette, il est inhumé à Houdan, une concession à perpétuité en 1840 par son fils Jacques-Nestor Songeon, qui sera sénateur de la Seine de 1855 à 1889.(Demande de Patrice Thebault)

Réponse de la Mairie : « J’ai pris connaissance de vos lettres du 15 octobre dernier faisant référence à l’existence dans notre cimetière de deux sépultures napoléoniennes celle du Colonel du 15^e Chasseurs à Cheval, Paul Jean Louis Rossignol-Dupré et de Jean-Marie Songeon dont la brillante carrière est retracée en annexe de votre lettre mais dont la situation de la tombe n’est pas précisée. Je vous remercie de ces informations et je vais charger un conseiller municipal de faire des propositions de sauvegarde que j’espère mettre en œuvre dés l’exercice 2019 ».
Merci M./Mme le Maire !

Le 10 mai 2022, Denis Flattot informe le Président que le haut du monument de Paul Jean Louis Rossignol-Dupré, s’est effondré et la plaque s’apprête à faire de même. Nouvelle demande d’intervention de l’ACMN. Le 23 janvier 2024, la Mairie de Houdan informe le Président que le monument de Paul Louis Rossignol-Dupré ainsi que la plaque ont été restaurés en 2022.
Merci M./Mme le Maire !

 

Houdan (78550) (Demande 2021 – mise à jour 2024)
Intervention de l'ACMN auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- tombe de Pierre Merlhiot. Commandant la Garde Nationale de Versailles. Chevalier de la Légion d’honneur. Décoré de la Croix de Saint Louis, médaillé de Sainte-Hélène. (Demande de Denis Flattot)
Le 23 janvier 2024, la Mairie de Houdan informe le Président de la sauvegarde et de l’entretien de la sépulture de Pierre Merlhiot.
Merci M./Mme le Maire !

Rochefort-en-Yvelines (78730)
Intervention de l'ACMN auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de Pierre Lefranc. Volontaire au 8^e bataillon de Seine-et-Oise (1792), capitaine au 10^e de ligne (1813) : Sur le socle illisible, face est : « ICI REPOSE PIERRE LEFRANC / NE A ROCHEFORT, DÉPARTEMENT DE SEINE ET OISE, LE 8 JUILLET 1776 / DÉCÉDÉ LE 3 AVRIL 1834 / ÉRIGÉ PAR SA VEUVE ET SES ENFANTS ». Face nord : « A FAIT LES CAMPAGNES DE 1792 ET 1793 A L’ARMÉE DU RHIN / AN 2, 3 ET 4 A CELLE DU NORD  / AN 5 ET 6 SUR LA CORVETTE, LA MIGNONNE / AN 7 ET 8 EN CORSE / 9 EN ITALIE / 10, 11 ET 12 A L’ÎLE DE SAINT DOMINGUE / 14 A L’ARMÉE DU NORD / 1806 AU CAMP DE NAPOLEONVILLE /  ANS 1807, 08, 09, 10, 11, 12, 13 AUX ARMÉES DE LA GIRONDE , D’ESPAGNE ET D’ALLEMAGNE / 13 ET 14 A L’ARMÉE DU RHIN ET AU BLOCUS DE WESEL » Face ouest « BLESSE DE COUPS DE FEU A L’ÉPAULE DROITE LE 8 SEPTEMBRE 1813 / BLESSE D’UN COUP DE FEU AU BAS-VENTRE A HANAU LE 30 OCTOBRE 1813 / COMME SOLDAT IL COMBATTAIT VAILLAMMENT POUR SA PATRIE / COMME CITOYEN IL FUT HONORE ADJOINT DE SA COMMUNE / FUT MODÈLE DE VERTU SI ÉLEVÉ QU’IL ÉTAIT L’ÉLITE DE SES CONCITOYENS, LE PROTECTEUR DE / L’HUMANITÉ ET LE SOUTIEN DES DROITS DE L’ÉGALITÉ ».  Face sud : « VOLONTAIRE AU 8^E BATAILLON DE SEINE ET OISE LE 13 SEPTEMBRE 1792 / CAPORAL LE 1ER NIVÔSE AN 3 / CAPORAL A LA 86E BRIGADE AN 3 / SERGENT 26 FRUCTIDOR AN 9 / ADJUDANT SOUS-OFFICIER LE 11 MAI 1809 / SOUS-LIEUTENANT LE 2 MARS 1811 / LIEUTENANT AU 10E RÉGIMENT DE LIGNE 9 AOÛT 1813 / CAPITAINE LE 8 NOVEMBRE 1813 / INCORPORE AU 123E DE LIGNE LE 11 DÉCEMBRE 1813 / IDEM PASSE AU 17E DE LIGNE LE 7 JUILLET 1814 / NOMME CHEVALIER DE LA LÉGION PAR S.A.R LE DUC D’ORLEANS  LE 21 MARS 1815 ». (Obélisque sur socle, à droite de l’église)
(Demande de Christian Bou)

Le 20 janvier 2024, la Mairie de Rochefort en Yvelines informe le Président : « Les écritures sur la pyramides ne sont plus très lisibles. Nous avons demandé un devis aux pompes funèbres pour le nettoyage. Nous reprendrons contact avec vous dès réception du devis ».
Merci M./Mme le Maire !

 

79 DEUX-SÈVRES

 

80 Somme

Fontaine-sur-Somme (80510)
Intervention de l’ACMN auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de Jean-Baptiste Boubert.  Entré au 25^e de ligne (1813). Il sert au blocus d’Anvers (1814). Médaillé de Sainte-Hélène : « J.-BAPTISTE / BOUBERT / DÉCÉDÉ / LE 9 MAI 1862 / À L’ÂGE DE 67 ANS » (Dalle à proximité d’un mur). (Demande d’Éric Casadevall, Délégué Régional)

Le 8 août 2024, la Mairie de Fontaine sur Somme informe le Président que la sépulture de Jean-Baptiste Boubert est sauvegardée et entretenue.
Merci M./Mme le Maire !

Hescamps (80290)
Intervention de l’ACMN auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de Charles Despeaux. Entré au 25^e de cavalerie (an II), passé au grenadiers à cheval de la Garde consulaire (an IX), brigadier (1807), maréchal des logis (1811). Médaillé de Sainte-Hélène : « CHARLES DESPEAUX / CHEVALIER DE LA LÉGION / D’HONNEUR / 1773 – 1859 » (Sarcophage familial entouré d’un enclos métallique, le long d’un mur).
(Demande de David Pelletier, Délégué auprès du Président)

Le 8 août 2024, la Mairie de Hescamps informe le Président : « Suite à votre correspondance, je vous confirme que nous avons conservé la sépulture de Charles Despeaux au Cimetière d’Agnières, Commune associée d’Hescamps ». Merci M./Mme le Maire !

81 TARN

Saint-Lieux-lès-Lavaur (81500)
Intervention de l’ACMN auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :

- la sépulture du général de l’Empire Audoy.
(Demande de Guy Decoulonvillers)

Le 13 juin 2024, la Mairie de Saint Lieux lès Lavaur informe le Président que la sépulture du général de l’Empire Audoy est sauvegardée. Elle a été restaurée par le Souvenir Français du Tarn.

Saïx (81710)
Intervention de l’ACMN auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de Jean Joseph Marthe. Enfant de troupe au régiment de Bourbon Infanterie devenu 56^e d’infanterie, puis 88^e demi-brigade de ligne (1793), fusilier à 14 ans (an VII), sergent-major (an VIII), passé sous-lieutenant au 10^e demi-brigade de ligne (an XI), lieutenant (1806), capitaine adjudant-major (1809), lieutenant en premier au régiment de chasseurs à pied de la Garde (1811), chef de bataillon au 2e voltigeurs. Il sert au Piémont et en Italie (1800-1801), dans la Grande Armée, à Naples et en Calabre (1805-1810), Russie, Saxe, blessé d’un coup de feu à Dresde, et France, reçoit trois coups de mitraille à Craonne : « ICI / REPOSE / JEAN JOSEPH MARTHE / GÉNÉRAL DE BRIGADE / COMMANDANT / DE LA / LÉGION D’HONNEUR / NÉ LE 4 DÉCEMBRE 1784 / DÉCÉDÉ LE 20 JUIN / 1866. » (1re allée à droite, dernière tombe à gauche, dalle horizontale entourée d’une grille).  (Demande de David Pelletier, Délégué auprès du Président)

Le 25 mars 2024, la Mairie de Saix informe le Président que la sépulture du général Marthe est sauvegardée et entretenue. L'habitation où il vivait a été démolie et nous ne retrouvons aucune photo, seul l'emplacement est connu.
Merci M./Mme le Maire !

 

82 TARN et GARONNE

Montauban (82013) (Demande 2022 – mise à jour 2024)
Intervention de l’ACMN auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la tombe du capitaine Joseph François qui était signalé en reprise administrative. Certaines recherches indiquent qu’il est né le 11/02/1784 à Montauban. Il décédé à Montauban le 8/11/1851 et  fils du Notaire Alexandre Murat. La tombe signale qu’il était Chevalier de la Légion d’honneur. Nommé capitaine en 1813. Il est présent au 58e Régiment d’infanterie de ligne en 1824 ainsi que dans les fusiliers vétérans en 1888. La tombe se situe dans l’allée de gauche de l’allée principale. (Demande d’Alain Lartigue)
Le 19 janvier 2024, la Mairie de Montauban informe le Président de la sauvegarde et de l’entretien de la tombe du capitaine Joseph François.
Merci. M. Le Maire.

Le 5 février 2024, la Mairie de Montauban informe le Président : « Permettez-moi de vous remercier pour le dernier Bulletin de l’ACMN, Volume 22 que vous m’avez adressé. Ce travail de conservation et de restauration des Monuments Napoléoniens est important ».
Merci M./Mme le Maire !
 

 

83 Var
 

84 VAUCLUSE

Apt (84400)
Intervention de l’ACMN auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de Charles-Félicien d’Anselme Duvignot.  Général de brigade (1794). Il sert aux armées du Nord et de Sambre-et-Meuse. Retiré (1797) : « CHARLES D’ANSELME / DUVIGNOT / MARÉCHAL DE CAMP, CHEVALIER DE ST LOUIS / ON LE VIT JEUNE ENCOR (Sic) MARCHER À LA VICTOIRE / AUX CRIS DE LA PATRIE ET DE LA LIBERTÉ. / PLUS TARD, À SES LAURIERS, IL AJOUTA LA GLOIRE / D’ÊTRE DES MALHEUREUX, LE PÈRE…. ET SA MÉMOIRE / FAIT L’ORGUEIL DE NOTRE CITÉ » (Stèle au sommet pyramidal, plaque brisée, carré 2 , allée G, tombe 11).
(Demande de David Pelletier, Délégué auprès du Président)

Le 4 septembre 2024, la Mairie de Apt informe le Président que la sépulture de  Charles-Félicien d’Anselme Duvignot est sauvegardée et restaurée par la Mairie.
Merci M./Mme le Maire

 

 

85 Vendée

Île d’Yeu (85350) (Demande 2023 – mise à jour 2024)
Intervention de l'A.C.M.N. auprès de la mairie pour la sauvegarde de : :
- la sépulture d’Honoré Chauviteau. Il est né le 11 février 1794 à l’Île d’Yeu. Il décède le 29 juin 1883. Capitaine au 26e Léger. Médaillé de Sainte-Hélène.
(Demande de Annabelle Chauviteau)

Réponse de la Mairie : « Nous accusons réception de votre courrier concernant une demande d’intervention de nos services municipaux afin de sauvegarder la tombe d’Honoré Chauviteau, médaillé de Sainte-Hélène, inhumé dans notre commune. Sachez que le service patrimoine a procédé au nettoyage de cette tombe (enlèvement des lichens, traitement contre les moisissures). A l’avenir, nous ne manquerons pas de prendre soin de ce patrimoine à la fois discret mais tellement important pour l’histoire de notre petit territoire. Merci à vous de nous avoir alerté sur son existence ».
Merci M./Mme le Maire !

 

86 VIENNE

 

 

87 Haute-Vienne

 

88 VOSGES

 

89 Yonne
Brienon-sur-Armançon (89210)
- la sépulture de  Isidore Delatre. Volontaire au 1er bataillon du Calvados (1793) devenu 48e demi-brigade de ligne (1796), admis aux régiments des chasseurs de la Garde des Consuls (1800), sergent instructeur auprès des fusiliers de la Garde impériale (1811), puis auprès des chasseurs à pied (1813), lieutenant au 6e voltigeurs de la Jeune Garde (1813). Il sert en Hollande, aux armées de Sambre-et-Meuse, du Rhin, présent à Kirchberg, Hohenlinden et au passage de l’Inn, au camp de Boulogne, dans la Grande Armée, Espagne, Autriche, Russie, Allemagne et France, tué par les cosaques de Platoff à Brienon (23 février 1814) : « NÉ À Gury / oise / le 14 juin / 1773 » Puis : « dÉvouement reconnaissance / Au / lieutenant / delatre / tuÉ par l’ennemi / le 23 fÉvrier / 1814 » Puis : « ExhumÉ / et tranSfÉrÉ le 25 mai / 1883. » (Colonne entretenue par le Souvenir français, mur ouest ; il est inhumé avec deux soldats de la guerre de 1870).

Le 23 février 1814, une soixantaine de prisonniers français, sous la garde d'un officier autrichien, passent par la ville. Devant la faiblesse de l'escorte, les habitants décident de délivrer les prisonniers, mais Delatre refuse de s'évader, craignant des représailles contre la population, et sauve même la vie du chef de l'escorte autrichien. Un escadron de hussards autrichiens du prince Ferdinand arrive sur la place de l'hôtel-de-ville. Le chef d'escorte demande d'épargner la vie du lieutenant Delatre qui l'avait sauvé. Tous les deux sont passés par les armes près du grand lavoir par les cosaques du capitaine Platoff, qui pillent ensuite la ville et massacrent des civils.
https://www.lyonne.fr/brienon-sur-armancon-89210/actualites/la-tombe-du-lieutenant-delatre-1775-1814-porte-un-monument-symbolique_14044135/

- la sépulture de  Claude-Edme Vauthier Volontaire au 7e bataillon de l’Yonne (1793), sergent puis sous-lieutenant (an III), passé à la 95e demi-brigade de ligne (1798) devenu 95e de ligne, lieutenant (1803), capitaine adjudant-major au 116e de ligne (1809). Il sert aux armées du Nord, Danube, Rhin, Hollande, Hanovre, dans la Grande Armée et Espagne (1808-1811). Retraité (1811) : « ICI REPOSE / VAUTHIER CLAUDE EDME, VEUF DE MARIE SOPHIE HERVEY, / ANCIEN CAPITAINE AU 116e RÉGT / DE LIGNE. IL A COMBATTU POUR / LA FRANCE À AUSTERLITZ, À JÉNA, À / EYLAU, ET EST MORT À BRIENON / LE 29 JUIN 1837. / ÂGÉ DE 67 ANS / LA MORT DE SA FILLE / A HÂTÉ LA SIENNE. » (Stèle de gauche dans un ensemble de deux stèles identiques).
- la sépulture d’Auguste Ferrand. Élève à l’École spéciale militaire (1812), sous-lieutenant au régiment des flanqueurs-grenadiers (avril 1813), passé au 11e tirailleurs de la Jeune Garde (sept. 1813). Il sert en Saxe, combat à Dresde, et, sous le général Maison, en Belgique et en France, à la défense de Paris (1815) : « ICI REPOSE / MR AUGUSTE FERRAND / ANCIEN LIEUTENANT / DANS LA GARDE IMPÉRIALE. » (Stèle à droite le long du mur).
Le 16 janvier 2024, Jean Paul Blanchard informe le Président :
« Je porte à votre attention que ces  trois monuments napoléoniens ont été rénovés en 2023 à Brienon sur Armançon dans l’Yonne avec l’aide d’un groupe de recherches militaires français »
 

Montréal (89420) (Demande 2014 – mise à jour 2024)
Intervention de l’ACMN auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture du général Habert. Né à Avallon, le 22 décembre 1773, il s’engage le 1^er septembre 1792 comme volontaire au 4^e bataillon de l’Yonne, et est élu capitaine le même jour. Deux jours plus tard, il est lieutenant-colonel au même bataillon. Participe à la première et seconde expédition d’Irlande. Au cours de cette dernière, il est capturé. Échangé, il est envoyé en Égypte, où il devient aide-de-camp de Menou, qui le fait chef de brigade sur le champ de bataille. Fait les campagnes d’Autriche, Prusse et Pologne (1805-1807). Fait ensuite la campagne d’Espagne jusqu’au bout, il ne rend Barcelone que le 28 mai 1814 ! Baron de l’Empire en 1811. Son sang coule à Wavre, le 18 juin 1815.
(Demande de Dominique Timmermans, Vice-président)

Réponse de la Mairie : « J’accuse réception de votre lettre de rappel du 17 février 2015, concernant un courrier du 21 février 2014 resté sans réponse de la mairie et qui concerne la sépulture du général Habert.  Je vous informe que l’Association Montréal en Bourgogne a pris en charge la remise en état de la tombe du général Habert, et recherche actuellement le propriétaire de la sépulture pour obtenir l’autorisation d’intervenir sur ce monument ».

Le 16 juin 2024, le Vice-président informe le Président que la sépulture risque d’être reprise.

Nouvelle demande d’intervention envoyée à la mairie.

Le 11 juillet 2024, la Mairie de Montréal informe le Président : « Ravi d’apprendre que vous avez comme objectif d’assurer la conservation et la restauration des monuments Napoléoniens. Nous partageons la même façon de voir, mais comment financer ces travaux. Cette tombe est sauvegardée dans le cimetière communal mais toujours dans le même état de conservation ».

Merci M./Mme le Maire !

 Vézelay (89450)
Intervention de l’ACMN auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture Jean-Léonard-Bazile Guillier de Chalvron. Capitaine d’infanterie (1813) : « M.A.P. COLON / UXOR J. L. B. GUILLIER / XV FÉV. ANNO MDCCCLVIII. » Puis : « EN ATTENDANT LA RÉSURRECTION / ICI REPOSE / LÉONARD GUILLIER DE CHALVRON. » (Stèle au sommet arrondi le long du mur nord et sur la gauche, à 5 mètres environ de la sépulture de Destutt de Blannay).  (Demande d’Éric Bertrand, Délégué Régional)

Réponse de la Mairie :  « J’ai l’honneur de vous confirmer que la Mairie de Vézelay, soucieuse de la valeur du patrimoine historique, assure la sauvegarde et l’entretien de la sépulture de Jean-Léonard-Bazile Guillier de Chalvron ».
Merci M./Mme le Maire !

 

90 Territoire de Belfort
 

91 Essonne

Saint-Germain-lès-Corbeil (91250)
Intervention de l’ACMN auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de Pierre-André Digard. Entré au 3^e d’artillerie (1805), chef de pièce (1807), passé caporal au 19^e de ligne (janv. 1813), sous-lieutenant (avril suiv.), lieutenant (sept. suiv.). Embarqué sur Le Suffren, Le Thémis, reçoit un coup de à la cuisse gauche dans une sortie faite à Rochefort (23 février 1807 ??) et La Pauline, reçoit un éclat de bois à la tête à la prise du HMS Proserpine dans une sortie à Toulon (24 janvier 1809), il sert à la Dominique (1805-1806), dans les rades de Rochefort, Toulon et Corfou (1807-1812) et sur terre dans la Grande Armée, reçoit deux coups de feu à l’épaule et au genou à Dresde (27 août 1813) : « P. A. DIGARD / CH. DE LA L. D’HONNEUR / - / DÉCÉDÉ EN 1829 » (Haute stèle familiale).
(Demande d’Éric Casadevall, Délégué Régional)

 

92 Hauts-de-Seine

 

93 SEINE-SAINT-DENIS
 

94 Val-de-Marne
 

95 Val d'OISE
Parmain (95620)
Intervention de l’ACMN auprès de la Mairie pour la sauvegarde de :
- la sépulture de Louis-Nicolas Gillet.  Maréchal des logis de gendarmerie (1808) : « FAMILLE DUPUY / LOUIS NICOLAS / GILLET / CHEVALIER DE LA LÉGION / D’HONNEUR / 1781 – 1859 / … » (Sarcophage de la famille Dupuy). (Demande de David Pelletier, Délégué auprès du Président)

Réponse de la Mairie : « Pour faire suite à votre courrier en date du 1^er et à notre entretien du 3 juillet relatifs à la sépulture supposée de Louis Nicolas Gillet, je viens apporter les éléments suivants à votre connaissance. Le monument funéraire porte sur une concession à perpétuité.  acquise en février 1875par Madame veuve Duput, née Gillet, propriétaire en la commune de Jouy le Comte (nom de la Commune de Parmain jusqu’en 1893) pour une surface totale de 4 m². Cette sépulture avait pour objectif d’accueillir les cendres de son époux, le docteur en médecine  Blaise Dupuy décédé à Parmain et d’y établir un caveau de famille. La pétitionnaire s’est engagée à verser pour prix principal de cette construction la somme de 400 francs dont 2/3 au profit de la Commune et 1/3 au profit des pauvres, conformément aux délibérations du Conseil municipal en vigueur à l’époque . Le caveau en question n’est donc pas , à proprement parler, un monument napoléonien, pas même du Second Empire. Nous n’avons aucune indication sur le nombre de places que comporte le caveau en question. De même, nous ne possédons pas de traces des permis d’inhumer et conséquemment nous n’avons pas de certitude que les noms figurant sur le monument correspondent à des cendres qui y auraient été déposées. Néanmoins, l’acquisition de la concession par Madame veuve Dupuy en février 1875 peu ou prou au décès de son époux en novembre précédent. Il est fort probable que les cendres des deux époux y soient déposées. Ainsi que celles des dames Bernay, décédées postérieurement à l’achat de la concession et dont nous ignorons le lien de parenté entretenu avec la pétitionnaire. En revanche, on peut constater que les corps de Louis Nicolas Gillet et de Julie Adélaïde Grayzely ont nécessairement été déposés en un autre lieu puisque ces personnes sont décédées respectivement 16 ans et 12 ans avant l’acquisition de la concession par leur fille. Nous n’avons aucune trace relative à exhumation et au transfert de leurs cendres dans le caveau construit en 1875, si tant est qu’ils s’y trouvent et que l’inscription de leur nom n’ait pas fonction de cénotaphe en ce qui les concerne ».
Merci M./Mme le Maire !

971 GUADELOUPE

 

 

Nous avons écrit "Merci M./Mme le Maire !" parce qu'il est difficile de rechercher chaque fois l'identité exacte de la personne. C'est la fonction que nous remercions !

 

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