6-8, rue de l’Arbalète, hôtel Saint-Louis et de la Poste où couche Napoléon à plusieurs reprises

Située au premier étage, à l’intérieur de la chambre historique, PC indiquant les différents séjours de Napoléon à Autun, dont celui effectué accompagné de Joséphine (10 janv. 1802).  La chambre a conservé son mobilier d’époque avec deux lits.

Suivant la tradition, Napoléon aurait couché dans le lit le plus proche de la cheminée. À l’intérieur, au-dessus de la porte de la chambre, PC : « BONAPARTE ET JOSÉPHINE 1802 / NAPOLÉON IER 1815. »

L’hôtel est actuellement fermé.

Rue de Strasbourg, la préfecture, ancien palais épiscopal, où Napoléon et Joséphine logent, en route vers Lyon et Milan où l’Empereur allait ceindre la couronne de Fer.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

7 bis, rue Robert-Belmont. Ici se trouvait l’hôtel du Parc où Napoléon loge à deux reprises. Démoli en 1987, il fait place à la résidence Napoléon.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

AUBERGISTE, UN LIT POUR L’EMPEREUR ! NAPOLÉON I^ER SÉJOURNE DEUX FOIS À BOURGOIN, À L’AUBERGE DU PARC DONT CETTE PLAQUE MARQUE L’EMPLACEMENT. À DIX ANS D’INTERVALLE LE CONTEXTE SERA BIEN DIFFÉRENT. LE 16 AVRIL 1805, ACCOMPAGNÉ DE L’IMPÉRATRICE JOSÉPHINE, IL DÉCOUVRE UNE VILLE PAVOISÉE ET ENTHOUSIASTE, ALORS QU’IL SE REND À MILAN POUR RECEVOIR LA COURONNE D’ITALIE. LE 9 MARS 1815, PENDANT LES 100 JOURS, À SON RETOUR DE L’ÎLE D’ELBE, IL RETROUVE BOURGOIN. SA RENCONTRE DE LAFFREY AVEC LES TROUPES ROYALISTES QUI L’ONT ACCLAMÉ, L’A RASSURÉ. L’EMPEREUR APPARAÎT PLUSIEURS FOIS AU BALCON DE L’HÔTEL. LES RUES PONTCOTTIER, ROBERT-BELMONT ET DE LA RÉPUBLIQUE SONT INSCRITES SUR L’ITINÉRAIRE HISTORIQUE DE LA ROUTE NAPOLÉON. Le balcon de l’hôtel a été déposé au musée municipal.